Les villes et le développement durable

« c) Londres, un exemple de ville durable ? Ces projets ne sont que partiels.

Le volet social du DD est négligé car les logements sont destinés aux classes moyennes ou aisées et les populations pauvres risquent d’être chassées : c’est ce qu’on appelle la ségrégation socio-spatiale. De plus, plus de 90% des logements du Thames Gateway vont être construit en zone inondable et le projet de « ville compact » imperméabilisent les sols et rend difficiles la gestion des risques d’inondation.  Londres multiplient les projets mais peine à y inclure toute la population, tous les espaces et tous les aspects Le fractionnement reste un défi par rapport à d’autre ville du Nord, moins vaste mais plus homogène. Mexico : le développement d’une mégalopole d’une ville du Sud en question a) Un étalement urbain démesuré et incontrôlé facteur de risques  L’ampleur et la brutalité de la transition urbaine (évolution spatial importante) ainsi que la difficulté de son site (altitude, sol instable, volcanisme, séisme…), on fait de Mexico un concentré de mal-développement. b) Le réseau de transport = un enjeu majeur La circulation automobile fragmente la ville ; elle assure 90% des trajets sous différente formes et occasionne des nuisances (pollution, embouteillage).

La politique des transports n’est donc pas durable et la circulation automobile reste privilégiée.. »