« Les rapports Est Ouest : 1957-1991 » (histoire)

« la Roumanie à partir des années 1960, qui mène sa propre politique et diplomatie.

La Roumanie aurait été utilisé comme un pion par Moscou.

Yougoslavie de Tito, et la Chine de Mao.

Le divorce entre la Chine et l’URSS commence en 1957.

La rupture se fait sur la vision de la coexistence pacifique et la conception des relations Est Ouest.

Mao refuse le révisionnisme Khrouchtchévien c'est-à- dire une révision de Khrouchtchev par rapport à la ligne Stalinienne.

Il est contre la détente et la coexistence pacifique.

Il ne faut pas avoir peur de ces rapports, c’est le tigre de papier.

La ligne de fracture s’étend à la conception de la société à partir de 1958-1959.

Le divorce est grand.

Le grand bon en avant est une affirmation du modèle Khrouchtchévien.

Il demande à tous ses paysans de travailler une bonne partie du temps pour produire de la fonte : désastre, famine etc.

Mao est mis sur la touche.

La campagne des cents fleurs en 1957 : grande ouverture en Chine.

Cent écoles de pensées doivent réfléchir et rivaliser, développement des idées nouvelles.

A la fin de l’année beaucoup son éliminés, notamment ceux qui ont rivalisé avec la campagne de Mao.

Beaucoup d’historiens estiment qu’il s’agit d’une déstalinisation, poussée version Mao.

Dans un premier temps, Zhu Enlai grand artisan du rapprochement (dès 1969-1972) avec l’Ouest.

Cela aura un effet important.

Dès 1971 les Etats-Unis reconnaissent la Chine populaire de Mao et donc ne reconnaissent plus Taïwan.

Ceci est rendu possible parce que les rapports entre la Chine et l’URSS se détériorent, en 1968 des rapports armés entre la Chine et l’URSS à la frontière Oussouri.

Du coté Occidental, Un emblème de ce craquement, la France gaullienne, qui refuse d’avoir une confiscation de la diplomatie vis-à-vis de l’Est par les Etats-Unis qui veut sa propre politique où le général De Gaulle prend des positions anti-américaine.

Il rend visite à la Russie.

C’est une politique indépendante qui reste alliée aux Etats-Unis (1962, soutien de Kennedy).

Les lignes de fractures sont moins évidentes, beaucoup de tentation du neutralisme : Yougoslavie, Autriche, Suède, Finlande...

et rapprochement entre les deux Allemagnes, initié par Willy Brandt : l’Ostpolitik.

Du coté Tiers Mondiste Ces rapports Est Ouest plus complexes, sur la ligne internationale constant rappel des rapports Nord Sud, avec un Tiers Monde qui se construit sur l’idée qu’il peut y avoir une troisième voix, le refus de la simple logique Est Ouest et qui veut renvoyer dos à dos l’Est et l’Ouest.

Ici le non alignement, différence avec le Tiers Monde.

Grande conférence de Belgrade de 1961.

Dès 1966, la conférence de La Havane, tricontinentale. 2.

Affaiblissement américain apparent Dans les années 1970, encore cette impression que les Etats-Unis se noient dans les rapports internationaux et s’affaiblissent.

Dernière grande opération du Containment c’est 1962 et dès les années 1970 échecs et échecs.

En Amérique Latine, les Etats-Unis apparaissent comme une politique condamnable : intervienne au Chili avec la politique d’Allende en 1973.

Il s’agit de la realpolitik à la Kissinger.

L’Afrique, à partir des années 1970, les communistes (soviéto -cubaine), prennent pied en Angola et au Mozambique (deux colonies Portugaise) et va basculer dans le camp pro soviétique.

Ce sera complété en 1977 par la chute d’Allié Sélassié en Ethiopie tombe, avec une politique pro communiste et Mengistu qui prend le pouvoir.

1976-1977 c’est le début d’une présidence américaine, symbole de la puissance américaine qui tombe. Dans les années 1980, personne ne pensait à citer le modèle américain sur un plan économique.

On se détourne complètement de cette image, dont on donne la faute à J.

Carter.

Sous son mandat, les Etats- Unis perdent également le Shah d’Iran en 1979.

Ex : prise d’otage à l’ambassade de Téhéran.

Opération menée échoue.

Discours réaliste qui montre les faiblesses américaines : il ose dire aux Américains de. »