Les grèves de juin 1936 «Pain, paix et liberté».
Publié le 17/10/2012
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Les grèves de juin 1936 «Pain, paix et liberté«. Aux élections de 1936, les partis qui se réclament de la gauche obtiennent 3 500 000 suffrages, soit près de 700 000 de plus qu'en 1932. C'est le gouvernement de Front populaire qui incarne l'espoir de toute la classe ouvrière et qui restera un mythe. En effet, tous les problèmes ne sont pas résolus pour autant. La fascisation de la France que laissaient craindre les événements du 6 février 1934 n'a pas eu lieu; mais il reste un lourd contentieux social. Bien sûr, les...
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- Paul Valéry écrivait en 1936 : « Le loisir intérieur, qui est autre chose que le loisir chronométrique, se perd. Nous perdons cette paix essentielle des profondeurs de l'être, cette absence sans prix pendant laquelle les éléments les plus délicats de la vie se rafraîchissent et se réconfortent, pendant laquelle l'être, en quelque sorte, se lave du passé et du futur, de la conscience présente, des obligations suspendues et des attaques embusquées... Point de souci, point de lendemain, p
- CORTOT, Jean-Pierre (1787-1843) Sculpteur, il réalise de 1839 à 1841, le fronton du Palais Bourbon, dont le thème est " la France entre la Liberté et l'Ordre public, appelant à elle les Génies du Commerce, de l'Agriculture, de la Paix, de la Guerre et de l'Eloquence ".
- Demander, dans un État libre, des gens hardis dans la guerre et timides dans la paix, c'est vouloir des choses impossibles, et, pour règle générale, toutes les fois qu'on verra tout le monde tranquille dans un État qui se donne le nom de république, on peut être assuré que la liberté n'y est pas.