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L'énergie en U.R.S.S.

Publié le 17/01/2022

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Introduction

• Un pays gros producteur et gros consommateur. Production de pétrole (1977) : 551 Mt (premier du Monde); de gaz naturel (1977) : 346 milliards de m3 (deuxième du Monde); de houille (1977) : 722 Mt (premier du Monde). Consommation de pétrole en 1978 : 413 Mt.

• Donc le problème des approvisionnements extérieurs ne se pose pas. Au contraire même, l'U.R.S.S. est exportatrice de charbon et d'hydrocarbures. La principale difficulté vient de la mise en exploitation de nouveaux gisements et de l'acheminement de leur production.

« l'Ukraine, les pays de la Volga. III.

Une source importante de devises pour l'économie 1.

Un des grands pays exportateurs • Troisième exportateur mondial de pétrole et de gaz naturel.

Quatrième exportateur mondial de houille. • Mise en place d'un immense réseau de pipe-lines pour alimenter, à travers l'Europe centrale, les Etats d'Europeoccidentale comme la France et l'Italie. • Pétrole et produits pétroliers atteignent 50 % des exportations totales.

Mais ce chiffre ne semble plus destiné à augmenter. 2.

Un marché privilégié : les pays satellites européens • L'U.R.S.S.

se considère comme leur fournisseur attitré.

Elle les alimente par plusieurs grands pipe-linesinternationaux.

• L'U.R.S.S.

se fait payer en biens d'équipement par les démocraties populaires qui participent, d'autre part, aux frais de construction des oléoducs en U.R.S.S. • L'U.R.S.S.

bénéficie de la hausse des tarifs internationaux décidée par l'O.P.E.P.

qu'elle suit avec un léger retard. 3.

Vers une orientation des marchés extérieurs • Le Japon pourrait augmenter sa participation à la mise en valeur des gisements de Sibérie orientale. • On prévoit un déclin des exportations d'hydrocarbures à partir de 1980 et même d'en importer à partir de 1985. • Mais les prévisions sont aléatoires car il est très difficile de se faire une idée des réserves que les Soviétiquespourront mettre en exploitation d'ici une dizaine d'années. Conclusion Des échanges de complémentarité avec les États périphériques seraient plus judicieux que la constructiond'immenses oléoducs; mais on craint les tendances centrifuges. Résultat : des progrès lents et très coûteux nécessitant de gros contrats d'équipement avec l'étranger, qui pèsentsur la balance commerciale.. »

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