Le pacte Briand-Kellogg
Publié le 27/02/2008
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Un grand effort pour la paix. Le mardi 28 août 1928, on peut lire dans La Montagne ce bandeau éloquent: «Quinze nations ont condamné le recours à la guerre.» Le quotidien auvergnat explicite ce fol espoir: «Paris, 27 août. La cérémonie de la signature du pacte général de renonciation à la guerre s'est déroulée... avec une solennité en rapport avec... cet acte d'une portée considérable.»
La seconde partie de la vie de Briand n'est qu'une incessante quête de la paix. En 1917, il tente de mettre fin au carnage en rencontrant von Lancken. En 1919, il refuse d'assister à la signature du traité de Versailles, dont il voit clairement les dangers. En 1921, il tente — en vain — d'assouplir la politique des réparations en nature (accords de Wiesbaden). Il accepte même l'idée d'un moratoire: c'est la conférence de Cannes (janvier 1922).
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