Le musée de Brooklyn à New York

« Le musée de Brooklyn abrite nombre de très belles pièces, les acquisitions se fondant généralement plus sur des ritères esthétiques que didactiques.

l'institution .

Les responsables annoncent leur volonté de créer une collection d'art per ­ manente .

A terme, il s'agit pour le musée de Brooklyn de combiner l'orientation artisti­ que du Metropolitan Mu ­ seum de New York et celle du musée américain d'histoire naturelle.

Plusieurs nouveaux départements sont créés.

En 1897, on en compte pas moins de vingt-cinq.

Bientôt, en raison de l'expan­ sion du musée et de l'incendie qui détruit en 1890 une part ie des co llections et de la bib l io­ thèque, il est décidé de bâtir un édifice plus ambitieux pour accueillir des collections hété­ roclites qui s'enrichissent sans cesse : peintures européennes et américaines, ve rres , cérami­ ques , ivoires, métaux euro­ péens, matériel d'ethnologie africaine et océanienne, spéci­ mens animaliers, etc.

La collection égyptienne L e nouveau musée abrite aussi de nombreuses anti­ quités, et notamment une très belle collection de pièces égyptiennes.

Les premières, acquises en 1902, provien­ nent des fouilles de Sir W .

M.

Flinders Petrie, fondateur de l'archéologie moderne.

En 1916, d'autres pièces issues de la collection privée consti­ tuée dans les années 1880 par Armand de Potter sont acquises .

La même année, la famille du grand égyptolo­ gue américain Charles Edwin Wilbour fait don de la biblio­ thèque et de la collection personnelle du savant.

Beau­ coup d'autres ant i qu ités d 'é poque pharaonique intè­ grent les collections à partir de 1932 .

Lors de la création d'u n dé­ partement d'art ancien, les. »