Le monde du point de vue de la mondialisation
Publié le 16/11/2014
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« essentielle pour la mondialisation des échanges : le p étrole. Il est une mati ère premi ère essentielle au fonctionnement des économies des pays riches et d évelopp és qui sont ceux qui alimentent la plus grande partie des échanges sur ce document. Ainsi, cette ressource int ègre obligatoirement les r égions de sa production à la mondialisation puisqu’elle repr ésente un besoin (40% des besoins énerg étiques à la surface du globe sont satisfaits par le p étrole). De nombreuses r égions africaines donc des espaces à plus grande échelle sont arrim és bel et bien aux échanges par le biais des ressources. De m ême, et à l’inverse, la culture g éographique r écente int ègre la Chine dans la somme des pays qui contribuent aux échanges commerciaux et donc à l’oligopole mondial. Pour autant, l’ensemble du territoire chinois n’est pas riche et ne rel ève pas des crit ères de d éveloppement car bien qu’appartenant aux BRICS et étant un pays émergent, la Chine est encore essentiellement un pays sur la voie du d éveloppement. De m ême, une lecture et une compr éhension du monde à l’aide de la seule vision g éoéconomique sontelles suffisantes ? La vision d’un monde aux fronti ères ouvertes, enti èrement globalis é par le march é sous le coup de l’ évaporation des tarifs douaniers et de la d érèglementation g énéralis ée encourag ée par une partie de la gouvernance mondiale est erron ée. Le monde d’aujourd’hui est au contraire en proie à des divisions, des fractures surtout g éopolitiques et se pr ésente comme un ensemble fragment é dans lequel les diff érences, les disparit és et les in égalit és sont encore nombreuses. Il doit donc être plut ôt per çu comme un espace multipolaire complexe dans lequel l’ économie à elle seule ne peut tout expliquer. Par cons équent, la vision d’un monde excluant des échanges les espaces « pauvres » est donc souvent trop « simpliste ». La limite Nord Sud fait appara ître certes encore des in égalit és socio économiques et spatiales entre des espaces de richesse et des espaces de pauvret é mais il faut se m éfier d’une vision du monde sous l’angle des échanges au travers de la seule analyse globale. Cette vision du monde a v écu et . »
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