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Le concile de Francfort

Publié le 14/07/2012

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Il est précisé qu’elles ont été décidées par Charles, "avec assentiment du concile" ce qui montre bien que le pouvoir des évêques est limité au domaine ecclésiastique, le droit en vigueur dans le pays est avant tout le fait du roi. Ensuite, on constate qu’au delà de l’imposition de règles nouvelles à la population, Charlemagne désire avant tout créer un "nouveau droit franc" en mettant en place une série de dispositions visant à mettre un terme à la persistance de lois barbares. Ainsi, le canon 43 "de détruire les arbres et les bois sacrés des païens" puisqu’à présent la religion d’Etat est le catholicisme, il faut endiguer tout reste de religion polythéiste afin de construire un peuple uni, communiant dans la même fois. De même, Charlemagne désire édicter un droit qui se distingue du droit barbare des burgondes en refusant de laisser les enfants prêter serment.

« présent la religion d'Etat est le catholicisme, il faut endiguer tout reste de religion polythéiste afin de construire un peuple uni, communiant dans la même fois.

Demême, Charlemagne désire édicter un droit qui se distingue du droit barbare des burgondes en refusant de laisser les enfants prêter serment. Le concile de Francfort eu de grandes répercutions sur l'avenir du royaume franc, notamment en résolvant définitivement des affaires divisant le royaume, commecelle de l'adoptianisme ou des images.

Mais les canons du concile abordent également la législation non canonique, celant ainsi l'alliance du trône et de l'autel.Charlemagne prolongera cette alliance avec L'Eglise en se faisant sacrer six ans après le concile de Francfort, à la noël de 800, empereur d'Occident par le Pape LéonIII à la basilique Saint Pierre à Rome.. »

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