Le 22 août 1572, un coup d'arquebuse éclate rue des Fossés Saint Germain.
Publié le 10/04/2015
Extrait du document
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Un bourgeois de passage à Paris note : “ Il n’y avait point de
ruelles de Paris quelque petite qu’elle fut où l’on en ait assassiné
quelques uns.
Le sang coulait dans les rues comme s’il avait
beaucoup plu ”.
Nul ne sait combien il y a de morts.
Le livre des sépultures de
l’Hôtel de Ville de Paris n’en mentionne que 1 100.
Il y en eut
3 000 peut-être, peut-être 7 000...
Dans les jours qui suivent, 10 000
huguenots encore sont tués en Province.
Catherine de Médicis
confie : “ Il valait mieux que cela tombe sur eux que sur nous ”.
Et
devant le parlement, elle déclare encore : “ Tout ce qui est advenu
dans Paris a été fait non seulement par mon propre consentement
mais par mon commandement et de mon propre mouvement ”.
La paix civile ne revient que le 22 mars 1594, lorsque Henri IV,
qui dut, vingt-deux ans plus tôt, abjurer dans la nuit de la Saint
Barthélémy pour n’être pas tué, entre dans Paris.
Le v œ u du roi
n’est pas différent de celui de son ministre Michel de L’Hospital :
“ Périsse à jamais ce jour néfaste pour l’histoire ”..
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- Je soussigné Henri Duhamel, né le 20 avril 1957, demeurant 5, rue la Fontaine à Blauvac, en ma qualité de père de Françoise Duhamel, née le 3 mars 1989 à Bergerac, autorise ma fille à participer à la sortie organisée par l'école à Saint-Germain-en-Laye.
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