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Le 11 novembre 1918, la victoire des Alliés

Publié le 28/03/2019

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Le 11 novembre 1918, la victoire des Alliés

Le 11 novembre marque la fin d'une guerre, ainsi que la fin d'une société. Les adversaires sortent du conflit épuisés, les Empires sont démantelés, mais les populations de tous les pays belligérants célèbrent la fin d'un long calvaire et l'approche d'une aube nouvelle.

La foule parisienne se presse place de la République pour fêter la fin de la guerre.

Le processus qui a conduit à la signature de l'armistice le 11 novembre 1918 s'engage dès octobre.

 

Le 7 octobre, Charles 1« propose à Wilson de conclure avec les Alliés un armistice. Wilson agrée lademande et, le 3 novembre, l'armistice est signé à Giusti (près de Padoue). La double monarchie Habsbourg s'effondre.

 

Pendant ce temps, en Allemagne, la population, lasse de la guerre, est de plus en plus à l'écoute de mouvements révolutionnaires.

 

Jusqu'au 23 octobre, Wilson dialogue seul avec l'Allemagne, mais ne veut traiter qu'avec les véritables représentants du peuple allemand. Le 25 octobre, la révision constitutionnelle est votée en Allemagne. Ludendorff démissionne. Guillaume Il abdique le 9 novembre.

 

Le 7 novembre 1918, le haut commandement allemand demande au généralissime Foch de recevoir une délégation. Foch accepte mais refuse la suspension d'armes sollicitées. A 21 heures, les soldats de la 3' compagnie du 171e d'Infanterie voient monter dans la nuit les phares de voitures arborant un drapeau blanc. Le général von Winterfeldt, en descend. Il est reçu par le capitaine Lhuillier. Dans la nuit, la délégation est conduite à Rethondes.

 

Le 8 novembre, à 9 heures

« La foule parisienne se presse place de la République pour fêter la fin de la guerre.

Le 11 novembre 1918, la victoire des Alliés Le 11 novembre marque la fin d'une guerre, ainsi que la fin d'une société.

Les adversa ires sortent du con flit épu isés, les Empir es sont démantelés, mais les popu­ lations de tous les pays belligérants célèbrent la fin d'un long calvair e et l'approche d'une aube nouvelle.

L e processus qui a co nduit à la sig nature de l'armis tice le 11 novembre 1918 s'engage dès octobre.

Le 7 octobre, Charles 1« propose à Wilson de conclure avec les Alliés un arm istice.

Wilson agrée la demande et, le 3 novembre, l'armis tice est signé à Gi usti (près de Padoue).

La double monarchie Habsbourg s'effondre.

Pendant ce temps, en Allemagne, la population, lasse de la gu erre, est de plus en plus à l'écoute de mouvements révolutionnair es.

Jusqu'au 23 octobre, Wilson dialogue seul avec l'Allem agne, mais ne veut traiter qu'avec les véritables représentants du peuple allemand.

Le 25 octobre, la révision constitu­ tionne lle est votée en Allemagne.

Ludendorff démissionne.

Guillaume Il abdique le 9 novembre.

Le 7 no vembre 1918, le haut commandement allemand demande au généralissime Foch de recevo ir une délégation.

Foch accepte mais refuse la suspension d'armes sollici­ tées.

A 21 heur es, les soldats de la 3' compagnie du 171' d'In fanterie voient monter dans la nuit les phar es de voitures arborant un drapeau blanc.

Le général von Winterfeldt, en desce nd.

Il est reçu par le ca pit aine Lhuill ier.

Dans la nui t, la délégation est condu ite à Rethondes.

Le 8 novem bre, à 9 heur es du matin, les parlementai res allemands pénètrent dans le wagon du généralissime Foch.

Sont également présents l'amiral anglais sir Roselyn Wemys, le génér al We ygand ainsi qu'un e dél égation américaine.. »

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