L'année 1848 en France et en Europe

« la commission du Luxembourg (parlement ouvrier qui doit organiser l'emploi et la production pour éviter le chômage).Puis création des créera ensuite les Ateliers nationaux le 27 février 1848.

Qui sont une tentative pour réduire lechômage (on est en période crise).

Regroupe les ouvriers au chômage pour des travaux publics.

Politique de grandstravaux pour soutenir l'emploi.

(Espérance pour les plus radicaux de se voir réaliser une république sociale.

Laseconde république proclame le droit au travail. Comment organiser les institutions ? Suffrage universel.

Il faut constituer une Assemblée constituante.

Elections le 23 avril 1848 : les modérésl'emportent.

Tout le monde vote : les ruraux aussi et la majorité est favorable aux conservateurs.

Avant lesélections la république tente de gagner de l'argent, elle augmente les impôts.

Les « impôts des 45 cts ».

Lespaysans : pas contents.

Ateliers nationaux : paysans pensent que ces impôts servent à financer cette société despartageurs(élections : ils votent conservateur.

Ils ont l'impression d'être laissés pour compte.

On ne s'occupe quedes ouvriers et de Paris. La République est proclamée le 4 mai 1848.

L'antagonisme s'approfondi.

Assemblée conservatrice de plus n plus, lesparisiens veut voir des réformes.

La chambre s'occupe surtout des ateliers nationaux car elle redoute que cela formeune armée ouvrière qui pourrait renverser le pouvoir(elle dissout ces ateliers.

Envoi des ouvriers sur des chantierséloignées de Paris ou dans l'armée.

Réaction immédiate : les faubourgs ouvriers se soulèvent entre les 23 et 26 juin1848 (nord est de Paris). La république donne les pleins pouvoirs au général Cavaignac pour mater cette rébellion.

Journées d'une violenceextrême(grande rupture de la seconde république ce mois de juin 1848 : on réprime la foule.

Journées de juin(amèneune république beaucoup plus conservatrice. Rupture de juin 1848.

Retour à une république beaucoup plus conservatrice.

Les ambitions sociales sontcondamnées.

Les socialistes deviennent hostiles à la république puisqu'elle devient répressive. Revendications libérales/Socialistes/minorités révolutionnaires ont en commun le souvenir de l'héritage de laRévolution. II) Printemps des peuples en Europe Vienne se soulève le 13 mars.

C'est Metternich, en place depuis 1815 lâche le pouvoir.

Symbole de cette Europepost révolutionnaire.

Berlin se soulève le 18 mars.

[Confédération germanique (1815) : Prusse, Autriche (territoiresde culture allemande).

Union européenne de l'Allemagne]. 1) Confédération germanique (dominée par l'Empire d'Autriche).

La cas allemand Entre 1815 et 1848 : Mouvements étudiants poursuivant l'unification, plutôt clandestins( Burschenschaften.Appuient aussi des éléments démocratiques.

Unité pour République.

Voie radicale et républicaine Autre mouvement : les libéraux.

Opposition parlementaire dans certains états allemands qui acceptent la réunionparlementaire (la Bavière).

Veulent la liberté, pas tellement l'unité.

Voie des libéraux constitutionnels Autour de qui réunir les allemands ? La Prusse ou l'Autriche, deus pays complètements différents.

République(Prusse) ou monarchie fédérale (Autriche). Révolutions de février : le roi de Prusse accorde une constitution (à la Prusse) et demande l'élection d'uneAssemblée allemande à Francfort, élue en mai 1848.

Réunion du parlement à majorité libérale : craint lessoulèvements radicaux, essaye de mettre en place une monarchie constitutionnelle en demandant au roi de Prussede devenir Empereur constitutionnel d'Allemagne.

Le roi de Prusse refuse, on est en avril 1849.

Les libéraux ontéchoué : pas de cohésion allemande. Autriche : s'est rétablie.

1850 : Elle force la Prusse à accepter le maintien de la confédération germanique sousdomination autrichienne.

Maintien de l'ordre ancien. 2) En Italie Les mouvements étudiants : les Carbonari et libéraux : les libéraux italiens.

Autriche(Piémont / Prusse(Etatspontificaux.

Exactement la même logique.

Carbonari et libéraux se séparent dans les 40's 50's. On aura : République italienne unie ? (Carbonari, Mazzini) Italie libérale fédérale ? Union autour de Piémont (Cavour) ou des Etats Pontificaux (projet Néo-guelfes) 1846 ; un nouveau Pape est élu, Pie IX, libéral : capable d'unifier l'Italie autour de Rome dans un systèmeconstitutionnel.

C'est ce que l'on pense à l'époque mais désillusion plus tard.. »