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L’Allemagne nazie de 1933 à 1939. Histoire

Publié le 28/09/2013

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Dès juin 1933, les magasins juifs sont boycottés. En 1935, les lois de Nuremberg interdisent tout mariage entre juifs et citoyens de «sang allemand«, retirent aux juifs le droit de vote et rendent le port de l'étoile jaune obligatoire. En 1938, on interdit aux juifs d'exploiter un commerce ou une entreprise, et, dans la nuit du 9 au 10 novembre, ils subissent des violences : c'est la «nuit de cristal«. Ces mesures annoncent le génocide de la Seconde Guerre mondiale. De 1933 à 1936, le gouvernement allemand tente de relancer l'économie : aide aux grandes entreprises et aux exportations, grands chantiers publics et commandes d'armement. À partir de 1936, Goering lance le plan de quatre ans tourné vers le réarmement à outrance et la fabrication des produits de substitution destinés à limiter les importations et à rendre le pays autarcique. Pour financer ces dépenses, l'État augmente les impôts. Cette politique est apparemment un succès. La production augmente et le chômage disparaît. En revanche, le pouvoir d'achat des Allemands stagne.

 

~En introduction, montrez la situation de 1930 à 1933.

~ Puis vous étudiez successivement :

- l'installation du régime par Hitler;

- la dictature nazie et son emprise sur la société et l'économie allemandes ;

- la marche à la guerre à partir de 1936.

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« un différentiel de fécondité entre les villes et les campagnes.

Que l que soit le pays, la ville opère un rattrapage en deux générations.

L'essor de la scolarisation des filles, le modèle des familles restreintes , la faible superficie des logements et l'appartenance confessionnelle limitent mais n'endiguent pas la progression démo­ graphique.

Le maillage urbain de lAfrique • La macrocéphalie Une quinzaine de villes ont largement passé le cap du million d'habitants.

Quatre d'entre elles, Le Caire (Égypte) , Lagos (Nigeria) , Abidjan (Côte d'ivoire) et Kinshasa (Congo, ex-Zaïre) organisent en totalité leur pays.

Ainsi, Lagos est non seulement macrocéphale mais aussi monocéphale.

La notion de réseau est inex istante .

La ville, dont la croissance a été estimée à 10 % par an, regrouperait près de 10 mil­ lions de personnes.

L'influence d'une telle unité engendre des déséquilibres régio­ naux car seule la zone d'influence est importante .

Aucune de ces villes n'a de rôle majeur en dehors des frontières .

L'économie internationale y est même plutôt subie, car la dynamique de création d'activités et d'emplois est l'un des leurres des villes africaines.

• Les réseaux incomplets Quel que soit le pays , les réseaux urbains de l'Afrique sont faiblement hiérarchi­ sés.

L'importance de la capitale et les conditions naturelles (zone sahélienne) expliquent ce phénomène.

Actuellement, le continent connaît une poussée vers les villes de second rang (Mogadiscio, Yaoundé, Marrakech) dont la population oscille entre 500 000 et un million .

Lorsque des politiques d'accompagnement existent, les petites agglomérations permettent un semblant de maillage du territoire.

Au Congo, le réseau est élé­ mentaire mais des villes de rang trois comme Ouesso et Owando limitent l'attrac­ tion de Brazzaville.

•. »

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