L’agriculture chinoise dans les années 1970
Publié le 08/10/2016
Extrait du document
• Les brigades ont vu leur rôle renforcé au niveau de l’organisation du travail et de la production.
• Les équipes forment la base de la répartition des tâches quotidiennes.
2. Un système qui repose sur la responsabilité des communes populaires et leur autonomie
• Un petit secteur privé a été maintenu, petite parcelle sur laquelle le paysan élève porcs et volailles, cultive des légumes, qu’il peut consommer ou vendre librement.
• L’essentiel de l’agriculture, cependant, est entre les mains des communes populaires qui assurent la liaison entre le plan économique de l’État et les brigades. Elles organisent aussi la fabrication et l’entretien du matériel agricole selon les besoins.
• Elles ont permis de mobiliser de formidables masses humaines
pour réaliser les grands travaux nécessaires à l’amélioration des conditions physiques.
3. Ces grands travaux ont porté sur :
• la maîtrise des eaux par digues et barrages pour éviter les inondations dévastatrices dans les basses vallées des grands fleuves ;
• la stabilisation des versants et la protection des terres fertiles mais peu résistantes au ruissellement par la construction de terrasses et le reboisement pour éviter l’érosion et le ravinement ;
• le développement de l’irrigation qui doit assurer l’extension des surfaces vers la zone aride occidentale et augmenter les rendements dans les régions de sécheresse saisonnière.
II. Nourrir 25 pour 100 de la population mondiale sur 7 pour 100 des terres cultivées
C’est le prodige de l’agriculture chinoise mais au prix de nombreuses difficultés et avec de graves insuffisances.
1. De nombreuses contraintes physiques
• Les terres les plus aptes à l’agriculture, plaines alluviales et
«
économique et administrative de la collectivité.
Elle comprend plusieurs brigades de production.
• Les brigades ont vu leur rôle renforcé au niveau de l'organi
sation du travail et de la production.
• Les équipes forment la base de la répartition des tâches quotidiennes.
2.
Un système qui repose sur la responsabilité des
communes populaires et leur autonomie
• Un petit secteur privé a été maintenu, petite parcelle sur laquelle le paysan élève porcs et volailles, cultive des légumes,
qu'il peut consommer ou vendre librement.
• L'essentiel de l'agriculture, cependant, est entre les mains des
communes populaires qui assurent la liaison entre le plan
économique de l'État et les brigades.
Elles organisent aussi la
fabrication et l'entretien du matériel agricole selon les besoins.
• Elles ont permis de mobiliser de formidables masses humaines pour réaliser les grands travaux nécessaires à l'amélioration des conditions physiques.
3.
Ces grands travaux ont porté sur :
• la maîtrise des eaux par digues et barrages pour éviter les
inondations dévastatrices dans les basses vallées des grands fleuves;
• la stabilisation des versants et la protection des terres ferti
les mais peu résistantes au ruissellement par la construction de terrasses et le reboisement pour éviter l'érosion et le ravine ment;
• le développement de l'irrigation qui doit assurer l'extension
des surfaces vers la zone aride occidentale et augmenter les
rendements dans les régions de sécheresse saisonnière.
II.
Nourrir 25 pour 100 de la population mondiale
sur 7 pour 100 des terres cultivées
C'est le prodige de l'agriculture chinoise mais au prix de nombreuses difficultés et avec de graves insuffisances.
1.
De nombreuses contraintes physiques
• Les terres les plus aptes à l'agriculture, plaines alluviales et.
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