L'Affaire Dreyfus

« comme « Le plus grand acte révolutionnaire du siècle. Diapo 8 : ☻ 13 janvier 1898 : J'accuse...

! Émile ZOLA accuse : – Le général BILLOT pour avoir étouffées les preuves certaines de l'innocence de Dreyfus comme il l'est écrit à la ligne 5. – Le lieutenant du Paty de Clam d'être l'ouvrier de l'erreur judiciaire et de l'avoir défendu comme on peut le voir à la ligne 2. – Le général de BOISDEFFRE et le général GONSE pour avoir été complice du crime du général BILLOT. Diapo 9 : ☻ ZOLA à la barre La publication de son article « J'accuse...

! », lui a valu un procès pour diffamation ainsi qu'un exil à Londres.

Il est condamné à un an de prison et 3 000 francs d'amande soit 457,35 €, ce qui était la peine maximale. Zola défendait le justice, le droit, la vérité, les droits de l'homme, la république et l'armée. Diapo 10 : ☻ Résultat de ce procès Décembre 1894 : Dreyfus est condamné à cause d'une erreur judiciaire. Février 1896 : Sa famille se mobilise pour lui venir en aide. Juillet 1896 : Le colonel PICQUART découvre que le vrai coupable est ESTERNHAZY. Juillet 1898 : Zola est condamné car son article possède de très lourdes charges contre l'état-major. Août 1899 : Second procès de Dreyfus à Rennes, il est de nouveau condamné malgré l'absence de preuves contre lui, comme on peut le voir à la ligne 29 du document 2 page 24. Septembre 1899 : Loubet signe la grâce de Dreyfus. Juillet 1906 : Dreyfus est réhabilité puis décoré de la Légion d'Honneur. Diapo 11 : ☻ L'Affaire DREYFUS de son origine à 1898 A la fin de l'année 1894, le capitaine Dreyfus, accusé d'avoir donner aux allemands des documents secrets, est condamné pour trahison.

C'est alors que l'opinion est fortement défavorable à Dreyfus.

La famille d' Alfred Dreyfus est certaine de son innocence et tente de le prouver en engageant un journaliste, Lazare.

De plus, le colonel Picquart, chef de contre-espionnage, constate en 1896 que le véritable traître est Esterhazy, l’état major refuse quand même de revenir son le jugement et envoie Picquart en Afrique du nord.

Pour attirer l'attention sur la fragilité des preuves contre Dreyfus, sa famille fait alors appelle en 1897 au vice président du Sénat, Scheurer-Kestner qui a acquis la conviction de l’innocence de Dreyfus et qui persuade également Clemenceau, journaliste.

Suite à l'accusation de Esterhazy, il est finalement acquitté, c'est alors que Zola publie « J'accuse...

! » pour les dreyfusards qui regroupe de nombreux intellectuels.

Des émeutes éclatent, il y a eu de nombreux morts à Alger.

La République est ébranlée, ce qui incite à la finition de l'affaire pour ramener le calme.

Le premier jugement condamnant Dreyus est cassé par la Cour de cassation au terme d'une enquête minutieuse, et un nouveau conseil de guerre a lieu à Rennes en 1899.

Contre toute attente, Dreyfus est condamné un nouvelle fois, à dix ans de prison.

Épuisé Dreyfus accepte alors la grâce présidentielle, accordé par le président Loubet.

Ce n'est qu'en 1906 que son innocence est officiellement reconnue au travers d'un arrêt sans renvoi de la Cour de cassation.

Le capitaine est réhabilité au mois de juillet.

Diapo 12 : Avec ou contre DREYFUS une France divisée. »