La vie sous l'ancien régime.
Publié le 12/04/2014
Extrait du document
«
Le baptême ce fait quelques heures après la naissance en cas de mort précoce, car rappelons le sous l'ancien
régime seul le sacrement assure la salut.
La mortalité sous l'ancien régime est marquée par le taux de mortalité
infantile.
Un enfant sur deux n'atteindra jamais l'age adulte.
La mortalité endogène est la plus rapide à frapper,
elle enlève plus du quart des nourrissons : malformations, accident de grossesse, coups de froid pris durant
les baptêmes quand les églises ne sont pas chauffés...
Les enfants sont aussi touchés par des accidents tels
que la noyade, les insolations etc.
La mort rode autour des accouchés.
Le nombres de morts en couches est
particulièrement élevés dans le mois suivant la naissances.
Le taux de mortalité des femmes mariés oscille
entre 4 et 8 % mais à age égal étrangement meurent autant.
D'autant plus que hommes et femmes sont égaux
devant la maladies : rage, cancers...
Le danger chez la femme c'est l'accouchement, le travail chez l'homme.
Enfin les crises démographique sont responsables de la mortalité extraordinaire.
Une crise peut tuer en
quelques mois, le quart de la population d'un village.
La disette, la famine engendrés par la crise, multiplie le
chiffre de décès par 5.
Vers sept ans, commence ce que l'on appellent l'age de raison.
C'est l'age à partir duquel l'enfant peut suivre
avec profit l'enseignement du catéchisme et recevoir le sacrement de confirmation, et s'il est malade, celui de
l'extreme-onction.
C'est a cette age qu'il devient responsable en justice et peut être poursuivi et même
condamné.
Dans les classes aisés l'éducation à tendance, surtout dans le sud de la France, à privilégié l'aîné
pour qu'il puisse assurer au moment venu, l'héritage paternel.
Entre douze et quatorze ans est fixé l'age de la
première communion.
Garçon comme fille, l'enfant commence petit à petit à ce détacher de sa famille pour
s'agréger bientôt au groupe de jeunesse.
Aujourd'hui tout le monde va à l'école et l'emprise de la scolarisation
gagne tous les jours.
Autrefois, au XVIIe siècle peu d'enfants allaient à l'école, au collège et à l'université.
Les
écoles permettent aux enfants d'apprendre le catéchisme, elles sont aussi destinées à les alphabétiser et à leur
apprendre à compter.
Le Nord et l'Est sont les régions les plus alphabétisées.
Les collèges ont été crée par les.
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