La vie quotidienne dans l'Egypte romaine

« IEUX ET LA LANGUE tiens nt contre ne et sage de qu'ils vents et ion, n bout isseurs, 'ont jamais e époque.

rs fériés sont /'occasion et Je désespoir.

lors et s'accompagne es.

Enfin, par la révolte, la récolte est mauvaise, ans leurs maigres ayer leur tribut.

ire respecter l'ordre et e, font la chasse aux eurs susceptibles de mettre a, Trajan et Caracalla réprimer dans Je sang de e pouvoir romain.

tre villes bénéficient d'une large autonomie locale et de privilèges particuliers : orga­ nisation sociale et politique calquée sur celle des cités­ États de la Grèce classique, usage du grec comme langue principale, fêtes religieuses grecques.

Quant aux Juifs, implantés dans le pays depuis des millénaires, ils ont leur propre conseil des anciens et peuvent également commer- 'gation égyptienne posant des tributs vant les sénateurs omains (gravure emande du milieu du X/X • siècle).

cer en toute quiétude, du moins jusqu'à leur disgrâce, prononcée par l'empereur Trajan en 117.

Des moins que rien L a dernière classe de la so­ ciété, la plus importante en nombre, est constituée par les Égyptiens et les Gréco­ Égyptiens.

Qu'ils soient riches propriétaires ou paysans, no­ tables ou artisans, ils sont écrasés d'impôts et de taxes en tout genre.

Même les fa- milles d'origine grecque se voient retirer les privilèges accordés par les Ptolémées.

Entre quatorze ans -date de la majorité en Égypte - et soixante ans, tout habitant doit s'acquitter de la capita­ tion (impôt annuel) et effec­ tuer un grand nombre de cor­ vées en signe de soumission à la domination romaine.

Pour les Égyptiens, peu d'es­ poir d'ascension sociale.

Pour obtenir la citoyenneté romai­ ne, un Égyptien doit passer vingt-cinq ans dans la légion.

Et encore, uniquement dans. »