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La politique extérieure de la Russie et de l'Union soviétique d'octobre 1917 à 1941 (Histoire)

Publié le 22/02/2012

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• Sujet de synthèse relativement difficile, car la politique extérieure soviétique est le plus souvent traitée de manière fortuite et indirecte dans les manuels.    • Il faut donc rassembler des éléments fort épars. La chronologie est ici précieuse, car elle indique les principales directions de recherche. Ainsi, par exemple, l'évocation du Komintern doit rappeler au candidat que l'U.R.S.S. dispose, par le truchement des différents partis communistes, d'un outil international non négligeable. Il convient toutefois de distinguer la position de l'État soviétique et celle du Komintern qui peuvent avoir, officiellement, deux attitudes indépendantes même si, bien souvent, les intérêts des partis communistes locaux sont sacrifiés, provisoirement, aux intérêts supérieurs de la « patrie du socialisme «.   

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« • Rapallo (1922).

Entente avec l'Allemagne : deux pays révisionnistes et faibles.

« Front uni capitaliste » ainsirompu.

Accords commerciaux.

Accords militaires secrets (les Allemands peuvent faire des essais d'armes enU.R.S.S.). 4.

Le soutien de la révolution mondiale • Fermeté du Komintern et des partis communistes occidentaux : tactique « Classe contre classe ». • L'aide aux « peuples opprimés ».

Aide à la Chine de Sun Yat Sen.

Les communistes s'intègrent au Kuo Min Tang «bourgeois ».

(Mais communistes massacrés par Tchiang Kai Tchek.) Lutte contre l'impérialisme.

Soutien desmouvements d'émancipation.II.

L'alliance avec les démocraties 1.

La danger nazi • Echec des communistes en Allemagne. • Anti-bolchevisme de Hitler.

Mein Kampf : projet de conquête d'« espace vital » à l'Est. • Renforcement militaire de l'Allemagne • Pacte anti-Komintern (novembre 1936).

Au danger allemand s'ajoute la menace japonaise sur les provincesorientales de l'U.R.S.S. 2.

La « main tendue » • Les partis communistes se rapprochent des démocrates.

« Main tendue » remplace « Classe contre classe ».

Frontpopulaire en France.

Alliance Tchiang Kai Tchek — Mao contre les Japonais en Chine (1936). 3.

Les accords internationaux • Entrée de l'U.R.S.S.

à la S.D.N.

(1934). • Accord franco-soviétique (mai 1935). • Alliance avec la Tchécoslovaquie. • En Espagne : aide en argent et en matériel.

Des volontaires dans les brigades internationales. III.

Détourner l'orage et gagner du temps 1.

La méfiance à l'égard des démocraties • Inaction des démocraties : Rhénanie, Espagne, Anschluss, etc. • La trahison de Munich.

L'U.R.S.S.

n'est pas conviée à la Conférence.

Elle peut craindre que l'Occident ne s'entendeavec l'Allemagne à son détriment. 2.

Le renversement d'alliance • Molotov, commissaire du Peuple aux Affaires étrangères. • Pacte germano-soviétique (août 1939).

Pacte de non-agression.

Partage secret de la Pologne.

L'U.R.S.S.

livreradu matériel aux Allemands. • Le Komintern met l'accent sur la lutte contre l'impérialisme franco-anglais. 3.

La préparation de la guerre Staline espère une guerre longue entre les États « capitalistes ».

Il veut gagner du temps pour renforcer son pays. • Un glacis de protection.

Attaque de la Pologne.

Guerre contre la Finlande.

Pression sur les États baltes, incorporésà l'U.R.S.S.

(juillet 1940).

Roumanie contrainte de rétrocéder la Bessarabie.

Importants territoires ainsi « récupérés »en près d'un an (23 millions d'habitants). • Le renforcement militaire.

3e plan interrompu.

Le budget militaire dépasse 40 % du budget total (12 % en 1933-1938).

Mais armée encore affaiblie par les purges de 1937 : 10 % seulement des officiers ont reçu une instructionmilitaire supérieure.. »

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