La politique extérieure de la France de 1945 à 1985 (Histoire)
Publié le 02/02/2013
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• La force de frappe française. Les ogives nucléaires la bombe A. en 1960 et la bombe H. en 1968 ; les armes nucléaires tactiques et les recherches sur la bombe à neutrons. Les vecteurs les avions Mirage et Mystère. les fusées du plateau d'Albion. les SMLE (sousmarins nucléaires lanceurs d'engins). La stratégie de dissuasion.
• Le retrait de l'OTAN militaire (1966). après le refus américain d'un «directoire à trois« (E .-U/R.- U/France). L'armée française retrouve une totale autonomie. mais la France demeure dans l'alliance atlantique.
• Des moyens d'intervention lointaine. Des bases terrestres. navales et aériennes. des forces d'intervention rapide pour protéger les intérêts français et les voies d'approvisionnement
- Une politique tiraillée entre le souci de défendre les intérêts nationaux, les besoins défensifs de la solidarité atlantique et un « tiers mondisme peut-être idéaliste. mais plus conforme aux traditions universalistes de la France (cf. les efforts pour réunir des conférences Nord-Sud).
- Trois priorités absolues toutefois : la sécurité (malgré les divergences sur les moyens. atlantisme ou défense indépendante). l'Europe et la politique africaine.
«
de la France de 1945 à 1985
• La force de frappe française .
Les ogives nucléaires la bombe A.
en 1960 et la bombe H.
en 1968 ; les armes nucléaires tactiques et les recherches sur la bombe à neutrons.
Les vecteurs les avions
Mirage et Mystère .
les fusées du plateau d'Albion.
les SMLE (sous
marins nucléaires lanceurs d'engins) .
La stratégie de dissuasion .
• Le retrait de l'OTAN militaire (1966).
après le refus américain d'un
«directoire à trois» (E.-U/R .-U/France) .
L'armée française retrouve
une totale autonomie .
mais la France demeure dans l'alliance atlan tique.
• Des moyens d'intervention lointaine.
Des bases terrestres .
nava
les et aériennes .
des forces d'intervention rapide pour protéger les intérêts français et les voies d'approvisionnement
3 La détente : un autre moyen d'assurer sa sécurité
Une opposition française à la bipolarisation .
du Monde et à la poli tique des blocs · une politique amorçée par de Gaulle et poursuivie
par ses successeurs.
Mais des frictions fréquentes avec les Améri
cains qui reprochent à la France d'affaiblir le camp occidental.
• Une amélioration
des rapports avec l'URSS.
De fréquentes visites au niveau le plus élevé (cf.
« K ».
puis Brejnev à Paris) .
La France longtemps considérée comme l'interlocuteur privilégié de l' URSS en Europe occidentale .
Mais une dégradation des relations depuis 1979
(Afghanistan .
Pologne.
problème des Euro -missiles .
etc .) .
• La sécurité des frontières .
La reconnaissance de la frontière
Oder -Neisse dès 1959.
Les accords d'Helsinki sur la garantie des
frontières en Europe (1975) .
• Des négociations sur le désarmement en Europe : les MBFR.
Mais
peu de
résultats .
2 1 L'EUROPE : LE PAS À PAS
1 La construction de l'Europe occidentale
• La naissance de l'Europe de la CECA à la CEE des Six (1950-1957) .
• Le coup d'arrêt gaullien.
« L'Europe des patries » et le refus gaullien de toute supranationalité .
Mais les partenaires de la CEE refusent le plan Fouchet (1961 ).
Le veto de de Gaulle à l'admission de l'Angleterre (1967).
LA POLITIQUE EXTERIEURE DE LA FRANCE DE 1945 A 1985 99.
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