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La Méditerranée et le monde méditerranéen à l'époque de Philippe II

Publié le 10/09/2012

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o V - L'Unité humaine : routes et villes, villes et routes : ▪ «La Méditerranée n'a d'unité que par le mouvement des hommes« (p.338) ▪ La cinquième partie fait état des routes méditerranéennes et de leurs relations avec les diférentes parties de la Méditerranée. ▪ «Ce n'est pas l'eau qui lie les régions de la Méditerranée, mais les peuples de la mer.« (p.337) ▪ Braudel affirme que c'est par le mouvement des hommes, par les routes maritimes et terrestres que la Méditerranée est un espace uni. Ainsi, si l'espace méditerranéen permet, dans sa géographie, de comprendre l'histoire statique des sociétés qui y habitent, c'est grâce à ces mêmes sociétés que l'espace méditerranéen peut être conçu comme un espace géographique unifié. Texte à l'étude : - La temporalité maritime à l'échelle des hommes. (p.121) Relation géographique de l'homme à son espace - Comparaison avec désert (p.121) Ce ne sont qu'aux contours que ces espaces peuvent être habités avec une certaine permanence - Les difficultés marines et terrestres pour les mouvements humains (159) - Notion d'obstacle entre les deux bassins de la Méditerranée (159) - Bassins autonomes, malgré les échanges (159) - Fonctionnement des deux bassins et interdépendance (160) - Terre et mer qui ne sont pas riches – peu de ressources naturelles, poissons, - (164) - Manque de bois pour fabriquer les navires (168-169) - Organisation de la vie maritime près des montagne – bois – (168) Routes marines - Routes marines (p.122) On reste généralement près des côtes, même s'il serait possible de naviguer en pleine mer. - Marins savent se servir de l'équipement de navigation – pierre d'aimant, astrolabe - (p.123) - Routes marine qui prennent l'aspect d'une simple rivière (p.123) - Droits de péage (p.123) Montre à quel point la navigaton reste collée aux côtes. - Ces routes suffisent pour les besoins (p.124) Les avantages des côtes - Côte = meilleure des boussoles (p.124) - Côte – petits villages côtiers qui permettent un ravitaillement presque quotidien (124) - Marchandage dans les ports (124-125) Liaisons méditerranéennes : - Trajets constants des bateaux le long des côtes lient les diverses parties de la Méditerranée (126 et 158-159) - Achat de bois, ou de partie de navire à l'étranger (170) Dimension humaine - Résistance du territoire et de la mer face aux mouvement de populations (159) - Luttes maritimes qui se situent aux frontières des deux bassins (161) - Différences des deux méditerranées « chacune est une zone d'histoire« (162) - Difficulté à recruter des marins (164-165) peu de volontaires, manque d'hommes. On va chercher des hommes du Nord -

« pâturages pour nourrir le bétail. ▪ Transhumance est un phénomène qui n'entraine qu'une portion de la population, les bergers. ▪ La question des nords verticaux, avec ses différents écosystèmes, permet de montrer comment le territoire crée des modes de vie liés à l'espace méditerranéen.

(96-100) ▪ Braudel discute brièvement du nomadisme, le comparant à la transhumance : le nomadisme est un mouvement d'un peuple en entier. o II – Au coeur de la Méditerranée : mers et littoraux :▪ Description de l'espace maritime : mers, archipels, bassins.

Braudel s'attarde à décrire différentes parties composant la Méditerranée ou lui étant relié. (Extrait) ▪ Description de la vie sur les îles de la Méditerranée : mode de vie précaire, risque de famine, etc.

Le fait que de nombreuses îles soient sur les routes commercialesmaritimes n'aide en rien les habitants.

Ceux qui se lancent dans la production de ressources exportables, se retrouvent entièrement dépendant des aller et venues desnavires. o III – Les confins ou la plus grande Méditerranée :▪ Cette partie fait état des relations de l'espace méditerranéen avec le reste du monde.

«La Méditerranée est telle que la font les hommes.» (p.

203) ▪ Braudel se questionne sur l'étendue de la Méditerranée qui, par ses voies maritimes et terrestres, dépasse l'espace géographique qu'on lui prête. ▪ «La règle, c'est que la vie de la mer se diffuse loin de ses rives, par larges poussée que compensent d'incessants retours.» (p.203) ▪ Différents échanges qui se créent à partir de la Méditerranée et vers elle.

(Culture, société, végétation, religion, etc.) o IV - L'Unité physique : le climat et l'histoire :▪ L'unité climatique relative qui règne autour de la Méditerranée fait en sorte que des civilisations agricoles identiques prennent forme.

(Culture de l'olivier et desvignes p.287) ▪ L'unité climatique permet un autre phénomène « un Méditerranéen, d'où qu'il soit, n'est jamais dépaysé sur les bords de la mer Intérieur.» (p.

287) ▪ «le semestre d'hiver est une période calme, de paix» (p.308) Le climat hivernal rendant la circulation maritime difficile et même impossible, les guerres maritimessont suspendues, et les guerres terrestres ralentissent considérablement. o V - L'Unité humaine : routes et villes, villes et routes :▪ «La Méditerranée n'a d'unité que par le mouvement des hommes» (p.338) ▪ La cinquième partie fait état des routes méditerranéennes et de leurs relations avec les diférentes parties de la Méditerranée. ▪ «Ce n'est pas l'eau qui lie les régions de la Méditerranée, mais les peuples de la mer.» (p.337) ▪ Braudel affirme que c'est par le mouvement des hommes, par les routes maritimes et terrestres que la Méditerranée est un espace uni.

Ainsi, si l'espaceméditerranéen permet, dans sa géographie, de comprendre l'histoire statique des sociétés qui y habitent, c'est grâce à ces mêmes sociétés que l'espace méditerranéenpeut être conçu comme un espace géographique unifié. Texte à l'étude : - La temporalité maritime à l'échelle des hommes.

(p.121) Relation géographique de l'homme à son espace- Comparaison avec désert (p.121) Ce ne sont qu'aux contours que ces espaces peuvent être habités avec une certaine permanence- Les difficultés marines et terrestres pour les mouvements humains (159)- Notion d'obstacle entre les deux bassins de la Méditerranée (159)- Bassins autonomes, malgré les échanges (159)- Fonctionnement des deux bassins et interdépendance (160)- Terre et mer qui ne sont pas riches – peu de ressources naturelles, poissons, - (164)- Manque de bois pour fabriquer les navires (168-169)- Organisation de la vie maritime près des montagne – bois – (168) Routes marines- Routes marines (p.122) On reste généralement près des côtes, même s'il serait possible de naviguer en pleine mer.- Marins savent se servir de l'équipement de navigation – pierre d'aimant, astrolabe - (p.123)- Routes marine qui prennent l'aspect d'une simple rivière (p.123)- Droits de péage (p.123) Montre à quel point la navigaton reste collée aux côtes.- Ces routes suffisent pour les besoins (p.124) Les avantages des côtes- Côte = meilleure des boussoles (p.124)- Côte – petits villages côtiers qui permettent un ravitaillement presque quotidien (124)- Marchandage dans les ports (124-125) Liaisons méditerranéennes :- Trajets constants des bateaux le long des côtes lient les diverses parties de la Méditerranée (126 et 158-159)- Achat de bois, ou de partie de navire à l'étranger (170) Dimension humaine- Résistance du territoire et de la mer face aux mouvement de populations (159)- Luttes maritimes qui se situent aux frontières des deux bassins (161)- Différences des deux méditerranées « chacune est une zone d'histoire» (162)- Difficulté à recruter des marins (164-165) peu de volontaires, manque d'hommes.

On va chercher des hommes du Nord-. »

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