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La Deuxième République

Publié le 17/01/2022

Extrait du document

                                     1848-1852.

INTRO :

     Nous sommes en pleine Monarchie de Juillet. : Louis Philippe, après seulement 18 ans de règne, (son arrivée au pouvoir date de Juillet 1830) se voit renversé durant la Révolution  du 22 au 25 Février 1848

 Raisons de ce soulèvement ?

·         Grave crise, économique et sociale.

*La crise, commencée en 1845, s’est étendue à presque tte l’Europe en 1946. Il s’agit, tt d’abord, d’une crise agricole, qui frappe une pop française, alors rurale à 75%. La maladie de la pomme de terre, la raréfaction du blé, du seigle et de l’orge, la hausse du prix des céréales de mars à juillet 47 expliquent cette crise. Et si certaines régions, telles le Rhône ou Marseille, apparaissent plus abritées par la crise, des zones comme la Loire et le centre souffrent de la disette.

« qui, non seulement ets la plus nombreuse, mais encore qui paie la masse la plus considérable dn lescontributions de l l'état. On a parlé des capacités, on dit que les citoyens pr lesquels on a demandé le dt de suffrage n'ont pas lacapacité suffisante.

De quelle capacité entend-on parler ? Est-ce qu'on nous fait subir un examen ? Est-cequ'on nous questionne sur Montesquieu ? La capacité qu'un électeur doit posséder, c'est celle dedistinguer l'honnête homme du malhonnête. Je suis convaincu que le Code civil réserve, à ces citoyens non censitaires, des dts qui pour être exercés,demandent cent fois plus de capacités que le dt électoral n'en exige. Arago, Discours devant la Chambre des députés, 16 mai 1840. Contre Guizot qui refuse, Guizot défend le suffrage censitaire. Messieurs, rien ne peut supprime l'inégalité en ce monde.

Il y a des dts qui st les mms pr ts, mais il y en aqui ne st pas les mms pr ts.

J'entends dire que c'ets l'inconvénient de notre régime politique, quant à moi, je ne regarde pas cela comme un inconvénient : je ne suis pas partisant du suffrage universel.

Je suisconvaincu que le suffrage universel est la mort de la liberté, aussi bien que de l'ordre.

Je regardel'inégalité dn la distribution des dts politiques comme la condition inévitable d'une gde sté, et comme laconséquence des inégalités de fait, matérielles et intellectuelles, qui existent nécessairement dn sonsein.(…) Ce que j'espère, c'est que les Français qui ne st pas encore, par leur situation, par défaut d'indépendanceou de lumières, assez élevés pour entrer dn la vie politique, s'élèveront progressivement, et qu'ainsi lesdts politiques s'étendront à mesure que les hommes appelés à en jouir en deviendront capables. Guizot, Discours devant la Chambre des députés, 28 mai 1846. S'organise, durant toute l'année 47, une campagne des banquets.

Il s'agissait déjà, bien avant 1830, de l'uniquemoyen de contourner les interdictions de réunion politique.

Elle devient systématique durant les 47s, 48s (70banquets de juillet à Février). I.

Février et Juin 48. A.

La révolution de février, et « l'esprit de 48 « . · En janvier 48, on discute, dans « Le National », d'une nelle affaire de corruption, dn laquelle serait impliqué Guizot.

Les jours suivant, le gvt est harcelé sur sa pol générale par Garnier-Pagès (commerçant qui deviendraministre des finances sous le GP), Thiers( ), Lamartine (Centriste, qui deviendra ministre des affaires étrangèressous le GP).

Tocqueville, libéral critique à l'égard du gvt, dénonce aussi son immobilisme. Tocqueville interpelle les dirigeants. LA Révolution française, qui a aboli et détruit tous les dts exclusifs, en a laissé subsister un, celui de lapropriété.

Ile ne faut pas que les propriétaires se fassent illusion sur la force de leur situation, ni qu'ilss‘imaginent que le dt de propriété est un rempart infranchissable parce que nulle part jusqu'à présent, iln'a été franchi, car notre temps ne ressemble à aucun autre.(…) Regardez ce qui se passe au sein des classes ouvrières qui, aujourd'hui, je le reconnais, sont tranquilles.

Ilest vrai qu'elles ne sont pas tourmentées par els passions politiques proprement dites, au même degré oùelles en ont été pénétrées jadis ; mais ne voyez vous pas que leur passions, de politiques sont devenuessociales ? Ne voyez vous pas qu'il se répand peu à peu dn leur sein des opinions , des idées, qui ne vontpas seulement à renverser telles lois, tel ministère, tel gvt mais la sté mm, à l'ébranler sur les bases surlesquelles elles reposent aujourd'hui ? Ne voyez vous pas que, peu à peu, il se dit dn leur sein que tout cequi se trouve au dessus d'elles est incapable et indigne de les gouverner ; que la division des biens faitejusqu'à présent dn le mde est injuste(…).Que la propriété y repose sur des bases qui ne st paséquitables .Et ne croyez vous pas, que , quand elles se répandent d'une manière presque générale, quandelles descendent profondément dn les masses, elles amènent tôt ou tard, je ne sais quand, , lesrévolutions les plus redoutables ? Tel est messieurs, ma conviction profonde.

Je crois que nous nous. »

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