John Kennedy, un symbole pendant la Guerre Froide

« des volontaires américains d'aider les pays sous-développés dans les domaines de l'éducation, de l'agriculture, de lasanté et du bâtiment.Le 28 mars 1961 : Il lance un programme d’armement parmi les plus importants en temps de paix.

Il double le nombrede missiles nucléaires, augmente le nombre de bombardiers.

Du 16 au 18 avril 1961, il échafaude un plan pourrenverser Fidel Castro, le président communiste cubain.

C’est alors que le débarquement de la baie des cochons àlieu, constituant à faire débarquer à Cuba, environ 1500 exilés cubain pour renverser le nouveau gouvernementcubain.

Ils été aidés par les Etats-Unis et la CIA.

Cette opération fut un échec total.

Kennedy témoignera en publicqu’il est le seul responsable mais affirmera en privée que la CIA leurs à donné de mauvaises informations et resteraméfiant à leurs égards durant le reste de son mandat.C’est en 25 mai 1961, qu’il s’engage activement dans la conquête de l’espace lorsqu’il prononce le fameux discoursqui donne le coup d’envoi du programme lunaire américain.

« Notre nation doit s’engager à faire atterrir l’homme surla Lune et à le ramener sur Terre sain et sauf avant la fin de la décennie.» Il répond ainsi à l’URSS qui, en pleineguerre froide, avait pris plusieurs longueurs d’avance dans cette conquête.Pendant ce temps, les allemands de l’Est transite par Berlin pour passer en RFA, cela ne plaît pas à Khrouchtchev etdécide d’agir en signant un traité de paix avec la RDA, ce qui priverait les Etats-Unis de leurs accès à Berlin-Ouest.Les américains juge la situation inacceptable.

Kennedy et Khrouchtchev se rencontre à Vienne en 1961 et aucunaccord commun aboutit.

Le 13 août 1961, le gouvernement est-allemand, sous le contrôle de l'URSS, débute laconstruction du Mur de Berlin séparant les secteurs Est et Ouest de la ville afin d'empêcher l'exode de la populationvers l'Ouest.

Bien que cet acte soit contraire à l'accord entre les quatre grandes puissances, Kennedy, sachantqu’ils sont aux bords d’une guerre nucléaire préfère rester pacifiste et ne l'empêche pas et ne fera pas grand choselors de son extension.

En septembre 1962, il prononce son discours We choose to go to the Moon, qui influence defaçon majeure la politique spatiale américaine.Le 14 octobre 1962: Des missiles soviétiques sont en construction à Cuba.

Kennedy est confronté à un dilemme :soit il attaque les sites en risquant une confrontation nucléaire avec l'URSS, soit il ne fait rien et les États-Unisdoivent vivre sous la menace d'armes nucléaires tactiques près d'eux.

Kennedy décide un blocus de l'île et entamedes négociations avec le président du Conseil des ministres soviétique Kroutchev.

Un accord sera trouvé, les États-Unis s'engageant à ne pas envahir Cuba et à retirer leurs missiles implantés en Turquie.

A Partir de ce moment-là, lefameux Téléphone rouge est mis en place, qui consiste en cas d’urgence à relier la Maison Blanche au Kremlin(citadelle de Moscou)Le 26 juin 1963: Kennedy visite Berlin Ouest et prononce un discours resté célèbre pour montrer son soutien auxhabitants de l’Allemagne de L’Ouest occupés par la RDA, durant lequel il lancera la phrase Ich bein ein Berliner (Jesuis un Berlinois).En Octobre 1963 : Il amorce l’engagement militaire américain au VietnamEt le 7 octobre 1963 : Il signe le traité d’interdictions des essais nucléaires pour éviter la prolifération desarmements et à long terme des effets radioactives. « Il y a beaucoup de gens dans le monde qui ne comprennent pas ou qui prétendent ne pas comprendre quelle est lagrande différence entre le monde libre et le monde communiste.

Qu'ils viennent à Berlin ! Il y en a qui disent qu'enEurope et ailleurs, nous pouvons travailler avec les communistes.

Qu'ils viennent à Berlin ! Lass sie nach Berlinkommen (« Qu'ils viennent à Berlin ») ! Notre liberté éprouve certes beaucoup de difficultés et notre démocratien'est pas parfaite.

Cependant, nous n'avons jamais eu besoin, nous, d'ériger un mur pour empêcher notre peuple des'enfuir.

(...) Le mur fournit la démonstration éclatante de la faillite du système communiste.

Cette faillite est visibleaux yeux du monde entier.

Nous n'éprouvons aucune satisfaction en voyant ce mur, car il constitue à nos yeux uneoffense non seulement à l'histoire mais encore une offense à l'humanité.

(...) Tous les hommes libres, où qu'ilsvivent, sont citoyens de Berlin.

C'est pourquoi, en tant qu'homme libre, je suis fier de dire : Ich bin ein Berliner ! »Discours de Kennedy à Berlin, le 26 juin 1963. « Nous choisissons d’aller sur la Lune.

Nous choisissons d’aller sur la Lune dans cette décennie et faire d’autrechoses encore, non parce que c’est facile, mais bien parce que c’est difficile, parce que ce but servira à organiseret mesurer le meilleur de nos énergies et de nos savoir-faire, parce que c’est un défi que nous sommes prêts àrelever, que nous ne voulons pas remettre à plus tard, et que nous avons l’intention de gagner, et les autres aussi.» Discours de Kennedy le 12 septembre 1962 sur la conquête spatiale. Assassinat : Le vendredi 22 novembre 1963, lors d’une visite pré-électorale à Dallas, le président est assassiné, d’une balle dansla tête devant des centaines de personnes venues l’acclamés.

Il n’y avait aucun doute sur la popularité de Kennedy,c’est pourquoi cet assassinat reste un mystère qui fait encore parler.

Selon les enquêtes officielles, l’assassinprésumé est Lee Harvey Oswald qui fut lui-même assassiné deux jours après son arrestation.Le 25 novembre, jour des funérailles, fut déclaré journée de deuil aux Etats-Unis et dans beaucoup d’autre pays.

Lemonde est consterné en apprenant la nouvelle, la population a peur à une attaque contre le pays.

Cet assassinatprovoque une émotion considérable dans la société américaine, mais aussi dans le monde entier.

Les confusions etles doutes qui entourent l’assassinat marquent l’apparition des premières failles dans le rêve de paix que le présidentavait porté, et le début du déclin de la confiance que le citoyen américain accordait à son gouvernement. En raison de son énergie, de son charisme, de son style et de ses qualités de chef pendant la Guerre Froide, que cesoit sur le plan intérieur ou extérieur à son pays, Kennedy reste l’un des personnages les plus populaires du 20èmesiècle.

Les américains cultivent la nostalgie du président défunt, ils l’associent au souvenir d’une incontestableprospérité et d’une société relativement égalitaire et homogène.

C’est à la suite de cet attentat que la population. »