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histoire politique et social

Publié le 04/12/2012

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histoire
 Histoire politique et sociale depuis 1789.   Exam oral.  (Composition : intro (chrono etc) + connaissances). 1ére partie : l’air Napoléonienne. 2ème partie : 1814-1848 deux monarchies 3ème partie : III République (1 seul thème).   1ère partie : période révolutionnaire. 1er titre préliminaire : Chap Ier : l’historiographie de la révolution. Elle est caractérisée par des controverses. L’histoire de la révolution est politisées, contenue idéologique. Chaque régime à sa propre lecture de la révolution. Schématiquement, il y a plusieurs lecture de la RF que l’on peut distinguer 1) lecture contre révolutionnaire, 2) lecture libérale, 3) lecture républicaine, 4) lecture marxiste, 5) et une lecture néolibérale. Il s’agit pour tous ces auteurs de réfléchir sur la révolution. « Qui est responsable de la terreur, pourquoi la terreur, comment l’expliquer, doit on avoir une vision unitaire de la révolution ou doit on distinguer 1789 et 1793, quel est l’héritage révolutionnaire ? (…) « Questions fondamentale au 19e et aujourd’hui encore. 1)     Lecture contre révolutionnaire : lecture unitaire de la révolution. La révolution est mauvaise dans son principe même sans qu’il soit nécessaire de distinguer les différentes périodes de la R. Il faut préciser que cette vision unitaire est aussi celle de certain républicain au 19e siècle, ce sont les mots de Clémenceau « la révolution est un bloc « c’est à dire qu’elle doit être acceptée dans son intégralité. On est pour ou contre la révolution. On ne peut faire le tri entre les bons et les mauvais révolutionnaires tout en précisant que dans le même temps au 19e tout le travail des républicains est de différencier république et révolution. Dans cette optique les républicains excusent la terreur.  Différents auteurs dés le début du 19e qui ont une vision moralisantes ou théologique de la révolution. 1ere explication : « La révolution est un châtiment de dieu « – Joseph de Maistre. A cause de l’athéisme, rupture avec l’ordre divin qui a conduit à la terreur. 2ème explication est celle du complot : révolution est fruit d’un complot présenté par philosophe des lumière et surtout par les franc maçons. Explication à grande popularité. Quoi qu’il en soit, la terreur est le fruit naturel des principes de 1789 car 1789 rompt avec l’ordre naturel, l’ordre divin. 2)     La lecture libérale : une lecture qui va à l’encontre de la vision unitaire de la révolution. Propose révolution en plusieurs phases car les libéraux insistent sur la césure entre 1789 et 93. Les libéraux admirent 89 mais rejettent 93. Ils se méfient de la souveraineté populaire, ils estiment que le peuple à un rôle essentiel dans la terreur. Pour les libéraux il faut comprendre la R pour éviter que l’histoire se répète. Benjamin constant 1767- 1730 d’abord républicain puis libéral. Soutient napoléon Bonaparte puis au 19e le camp libéral. Il soutient la thèse selon laquelle il y a deux R : révolution libérale 89, inévitable car au nom de la liberté et la R radicale 93 qu’il faut rejeté. Il faut la comprendre pour l’éviter. Constant accorde une place importante à Robespierre. 3)     Les courants républicains : beaucoup de républicains s’intéressent à l’histoire de la R. beaucoup de journalistes, d’H pol s’intéressent et écrivent sur ça. Il faut nuancer car nombre d’entre eux mettent en exergue 93. Ils ne rejettent pas 93, bien au contraire. Quelques ex : Louis Blanc -> a participé au gouv de la 2nd rép. C’est un républicain socialo et il décrit deux R, celle de 89 = triomphe de la bourgeoisie qu’il déteste à révolution inachevé. 93 = vraie R. pour lui la dém ne peut s’installer qu’avec le triomphe du peuple. Robespierre s’exprime au nom du peuple. Il faut réhabilité 93 sans la terreur. Pour autant si la terreur est un mal, elle est un mal nécessaire dont les Révolutionnaires ne sont pas coupables. Mais surtout la révolution à du faire face au complot contre révolutionnaire, etc concours de circonstances. il existe à cette période une vision différente : Edgar Quinet : admire révolution française mais qui critique la terreur, il l’a refuse et refuse théorie des circonstances pour justifier la terreur. Il explique que la terreur a pour cause le choc de deux France (monarchie contre peuple) qui veulent se détruire l’une l’autre. Il explique la terreur en raison de l’élaboration d’un système de représailles. Il faut éliminer physiquement l’adversaire il explique la terreur en raison du mépris de l’individu. L’ouvrage qu’il écrit sur la R, s’éloigner de la théorie des circonstances, ouvrage à grande importance qui suscite nombres de polémique au sein du camp républicain. Changement radicale = mise en place de  la IIIe rep, la révolution est modifiée. Changement avec jean Jaurès, ouvrage : « l’histoire socialiste de la RF «. Jean Jaurès, lui veut expliquer la révolution en prenant en considération les facteurs éco et sociaux. Le points important = luttes sociales qui explique le déroulement des événements. Pour lui aussi 89 = révolution bourgeoise. C’ets une vision qui est critiquable car il est bien difficile pour cette période de révolution d’appliquer le principe de la lutte des classe car il n’existe pas de classe bourgeoise consciente d’elle même. Mais cet ouvrage est fondamentale, il met en place cette aspect éco et sociale qui prime cet aspect de lutte sociale qui est liée au capitalisme naissant. 4)     Début du 20e siècle : le marxisme imprègne véritablement l’historiographie du 18e siècle. Il modifie la vision de RF. L’école marxiste domine la pensée française. Domine dans les universités jusque dans les années 70. George Lefebvre, Albert Soboul.  Ce sont des auteurs qui ont travaillés sur les faits, leur travaux ont fait progresser la connaissance de la R. même leur interprétation est discutable car elle est construite sur la notion de lutte des classes. 89 = révolution bourgeoise et 93 = histoire à privilégier face à la première période. Moment fondamentale dans lecture Marxiste = révolution bolchévique. Ils veulent voir dans la RF ce qui annonce la révolution bolchévique de 1917. Une filiation est établie entre 93 et 1917. Les bolchéviques eux-mêmes font le lien. Dans cet esprit, il y a une justification de la dictature jacobine (révolution radicale nécessaire), de la violence révolutionnaire. Pour que la révolution marche : Il y a une alliance entre élite intellectuelle et masse populaire, centralisation étatique, utilisation de la force sans pitié pour les adversaire et économie dirigé (aides aux plus démunis) -> dém sociale. Mouvement socialo du 18e. 5)     Lecture néolibérale : Remise en cause du mouvement marxisme (60_70). 1- auteur anglo-saxon, américain, robert palmer ; Jacques Godechot (français), c’ets l’école des révolution atlantique. Cette école à pour objectif de démythifier la RF. De lui ôter sa place singulière. certes elle présente des singularité mais elle n’ets pas unique. Elle s’inscrit dans un cadre général qui a touché l’Europe. Une autre école remet en cause de manière pus durable le courant marxisme : c’ets l’école de François furet (mort en 1897) lui-même ancien communiste et socialiste. Il écarte la notion de révolution bourgeoise car la révolution n’ets pas le fruit de lutte sociale. les choses sont plus complexes. Il explique que la terreur n’est pas le fruit des circonstances. certes les circonstances ne peuvent être écartées. Contexte spécifique qui explique la terreur mais ça ne suffit pas. Il considère que la terreur est inhérente à l’idéologie des Jacobins (des révolutionnaires). Refus des opinions divergentes. On exclut physiquement les minoritaires. La R n’a jamais été modérée dès 1789, en 1789 tout est fait, l’ancien régime à disparu. Il explique que la terreur est aussi bâti sur le volontarisme politique cad bâti sur la conviction que la pol peut transformer la société en recouvrant s’il le faut à la violence. Il explique qu’à partir de 93 la terreur à cesser car la société a trouvé une sorte d’autonomie par rapport à la politique.    La révolution n’a pas des causes uniquement pol ou sociale ou autres. C’est un croisement de situations complexes, et de l’accidentel et du hasard. Elle n’était pas inévitable. La monarchie est à bout de souffle en 89, mais elle a traversé des crises avant et s’en était sortie.   1ère section : crise idéologique et institutionnelle. Crise idéologique : Contestation idéologique de l’absolutisme. (Renvoie à déf de souveraineté : une indivisible etc). Pvr absolue, il n’y a pas de contre pvr instit, le roi a son pvr de dieu et ne doit pas rendre compte à des instit humaine. Ça ne veut pas dire despotisme, tyrannie. Le roi est entouré de conseil, il est soumis aux lois fondamentales, divines. Et le pvr en théorie absolue est limité en pratique par des contres pvrs tel que la structure de la société. Les privilèges, les résistances locales, des contres pvrs existent qui sont autant de freins à la réformation de la monarchie. Le roi ne se confond pas avec l’état. On peut dire que ce pvr absolue est, jusqu’au début du 18e, accepté par la population car il est une réponse à une grave crise créée par les guerre de religion. La monarchie qui a dépassé ses origines seigneuriale, assure cohésion du royaume, symbole d’unité, pvr d’équilibre. C’est un pvr qui au long des siècle sait ce réformer. Au 18e siècle se développe un mvt de contestation du pvr absolue. Siècle de la réforme, toutes instit (religion, instit monarchique etc) doit être soumis à l’examen de l’homme de la raison. La difficulté de la monarchie au 18e est qu’elle est face à une convergence de remise en cause, de contestation, face à des courants qui l’affaiblisse. La R se fait aussi dans les esprits. Le 18e siècle est le siècle de l’avènement de l’opinion publique. Les idées se rependent, elles sont vulgarisées. Accessible à l’H de la rue. Face à cette convergence de contestation, la monarchie n’a pas su mettre en place une propagande, n’a pas su mettre en place son propre courant. Mais tout au long des siècles précédents, elle l’a fait. La monarchie ne suscite pas un courant de pensée en sa faveur. Le blocage instit est essentiellement le fait des parlements qui disposent d’un pvr pol considérables par le biais des remontrances qui auraient du rester secrètes mais qui sont publiées et mis sur la place publique. Dans ces remontrances on peut trouver des choses intéressantes sur les droits de l’H etc mais pour l’essentiel ses parlement sont un frein à la reformes fiscale, ils sont privilégies. Ces résistances font que le pvr royal est paralysé. Années 1887 1888 = pré révolution. Les parlements mènent combat contre monarchie. 2ème section : révolutions à des causes sociales. Il y a une crise de la société. Équilibre traditionnel sont bouleversée. 3 ordres. Trois ordres social dont deux privilégiés. A ses privilèges sont attachés des devoirs. La noblesses paie l’impôt du sang et ça a un sens les sicle précédents. Mais cette hiérarchie sociale est remise en cause d’abord par la richesse. La richesse une nouvelle hiérarchie sociale qui traverse les ordres, cad que noblesse clergé et tiers état sont hétérogènes. Au sei...
histoire

« optique les républicains excusent la terreur.  Différents auteurs dés le début du 19e qui ont une vision moralisantes ou théologique de la révolution.

1ere explication : « La révolution est un châtiment de dieu » - Joseph de Maistre.

A cause de l'athéisme, rupture avec l'ordre divin qui a conduit à la terreur.

2ème explication est celle du complot : révolution est fruit d'un complot présenté par philosophe des lumière et surtout par les franc maçons.

Explication à grande popularité.

Quoi qu'il en soit, la terreur est le fruit naturel des principes de 1789 car 1789 rompt avec l'ordre naturel, l'ordre divin. 2)     La lecture libérale : une lecture qui va à l'encontre de la vision unitaire de la révolution.

Propose révolution en plusieurs phases car les libéraux insistent sur la césure entre 1789 et 93.

Les libéraux admirent 89 mais rejettent 93.

Ils se méfient de la souveraineté populaire, ils estiment que le peuple à un rôle essentiel dans la terreur.

Pour les libéraux il faut comprendre la R pour éviter que l'histoire se répète.

Benjamin constant 1767- 1730 d'abord républicain puis libéral.

Soutient napoléon Bonaparte puis au 19e le camp libéral.

Il soutient la thèse selon laquelle il y a deux R : révolution libérale 89, inévitable car au nom de la liberté et la R radicale 93 qu'il faut rejeté.

Il faut la comprendre pour l'éviter.

Constant accorde une place importante à Robespierre. 3)     Les courants républicains : beaucoup de républicains s'intéressent à l'histoire de la R.

beaucoup de journalistes, d'H pol s'intéressent et écrivent sur ça.

Il faut nuancer car nombre d'entre eux mettent en exergue 93.

Ils ne rejettent pas 93, bien au contraire.

Quelques ex : Louis Blanc -> a participé au gouv de la 2nd rép. C'est un républicain socialo et il décrit deux R, celle de 89 = triomphe de la bourgeoisie qu'il déteste à révolution inachevé.

93 = vraie R.

pour lui la dém ne peut s'installer qu'avec le triomphe du peuple.

Robespierre s'exprime au nom du peuple.

Il faut réhabilité 93 sans la terreur.

Pour autant si la terreur est un mal, elle est un mal nécessaire dont les Révolutionnaires ne sont pas coupables.

Mais surtout la révolution à du faire face au complot contre révolutionnaire, etc concours de circonstances.

il existe à cette période une vision différente : Edgar Quinet : admire révolution française mais qui critique la terreur, il l'a refuse et refuse théorie des circonstances pour justifier la terreur.

Il explique que la terreur a pour cause le choc de deux France (monarchie contre peuple) qui veulent se détruire l'une l'autre.

Il explique la terreur en raison de l'élaboration d'un système de représailles.

Il faut éliminer physiquement l'adversaire il explique la terreur en raison du mépris de l'individu.

L'ouvrage qu'il écrit sur la R, s'éloigner de la théorie des circonstances, ouvrage à grande. »

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