Histoire et Géographie de la Nouvelle-Zélande
Publié le 22/02/2012
Extrait du document
«
Maoris.
On sponsorise donc de nombreuses organisations et activités nationales, y compris l'orchestre symphoniquenational, les musées, les galeries d'art, la sauvegarde des lieux historiques et culturels, et l'industriecinématographique locale qui commence à acquérir une réputation internationale.
En Nouvelle-Zélande, il y a plus de600 musées et galeries d'art.
Les principaux, qui se trouvent à Auckland, à Wellington, à Christchurch et à Dunedin,sont renommés pour leurs collections d'artisanat provenant des cultures du Pacifique et des Maoris.
La BibliothèqueNationale de Wellington comprend la section Alexandre Turnbull, dont les documents portent sur la Nouvelle-Zélandeet le Pacifique.
L'économie: L'économie de la Nouvelle-Zélande repose essentiellement sur l'agriculture etl'exportation de produits agricoles (ovins, bovins, laine et produits laitiers).
Néanmoins depuis la Seconde GuerreMondiale, les usines se sont développées et les machines agricoles ont remplacé la main d'oeuvre humaine.
Selon lerecensement de 1991, moins de 11% de la main d'oeuvre travaille dans l'agriculture, la pêche ou l'exploitationforestière.
L'industrie et le bâtiment en emploient 22% et le tertiaire 58%.
Dès les premières colonies européennes,la Nouvelle-Zélande a gardé des liens économiques soutenus avec la Grande-Bretagne.
Après 1950, la Nouvelle-Zélande commença à diversifier ses produits et les marchés et, lorsque la Grande-Bretagne entra dans laCommunauté Européenne en 1973, les exportations de produits agricoles vers cette nation diminuèrent énormément.La Nouvelle-Zélande exporte une grande gamme de produits vers une centaine de marchés différents, dont lesprincipaux sont le Japon, l'Australie, la Communauté Européenne et les Etats-Unis.
Les domaines contribuant le plusà ces exportations sont l'horticulture, la sylviculture et l'industrie.
La Nouvelle-Zélande offre aussi des servicestechniques aux pays voisins les moins développés.
L'agriculture: La richesse agricole du pays provient principalementdes élevages d'ovins et de bovins.
Il y a 20 fois plus d'animaux que d'humains en Nouvelle-Zélande, ce qui estprobablement le taux le plus élevé du monde.
Le sol, à l'exception de poches d'alluvions et de matériauxvolcaniques, est peu fertile de nature.
Des pâturages bien verts, qui sont essentiels pour la productivité, ne sontobtenus que grâce à des techniques modernes comme l'épandage par avion avec des semences et des fertilisants.Les grosses récoltes sont concentrées sur les plaines de Canterbury, et sur les régions de basses terres, qui sonttoutefois plus petites.
Les principales cultures sont le blé, l'orge, le maïs et l'avoine.
On cultive des agrumes et deskiwis dans les districts septentrionaux très arrosés, et des pommes et des poires sur les basses terres de HawkesBay, dans l'est de l'Ile du Nord, et au nord de l'Ile du sud.
Ces dernières années, on a assisté à une augmentation dela viticulture dans les régions sèches des deux îles, notamment dans le district de Hawkes Bay.
C'est égalementdans cette région que l'on cultive des légumes, des fruits exotiques, qui sont la base d'une industrie en pleineexpansion, celle des conserves.
La politique du gouvernement est de favoriser les fermes individuelles, mais degrosses entreprises se sont aussi développées.
La sylviculture et la pêche: Les produits forestiers contribuent ausside façon substantielle à l'économie de la Nouvelle-Zélande.
Les forêts naturelles du pays ne permettent plus defournir le bois mais de grandes plantations de conifères, sur l'île du Nord, supportent une industrie florissante dubois, de la pulpe et du papier.
On pêche énormément de poissons et de crustacés qui sont principalement destinésau marché de l'exportation, surtout des écrevisses et des huîtres.
Les minerais et l'énergie: Les ressources minéralesde la Nouvelle-Zélande sont limitées; peu de minerais existant en quantité commerciale.
On exploite beaucoup lecharbon dans certaines parties des deux îles.
Des sables ferreux existent le long du littoral occidental de l'Ile duNord, dont on extrait du fer qui est alors exporté ou envoyé dans les sidérurgies d'Auckland.
Il y a de bonnesquantités de gaz naturel au larges des côtes de Taranaki.
Parmi les ressources présentes dans le sous-sol, on peutciter le calcaire et l'argile, l'argent, la bauxite et le tungstène.
L'or alluvial ne fait plus partie des ressourcesmajeures du pays mais on continue à exploiter de temps à autre le minerai d'or, selon les prix du marché.
Du mineraid'aluminium, importé de l'Australie vers Bluff, est alors fondu en utilisant l'électricité produite par la centralehydroélectrique du lac Manapouri.
Le potentiel hydroélectrique du pays est très important et bien exploité.
Denombreuses centrales répondent aux besoins en électricité du pays à un coût relativement faible.
Les usines: Lesecteur industriel de la Nouvelle-Zélande supporte les (et dépend des) exportations agricoles, mais il répond aussiaux besoins intérieurs du pays.
Alors que certains produits manufacturés sont encore importés en grandesquantités, les usines néo-zélandaises produisent aujourd'hui, des denrées alimentaires, des textiles, des vêtements,des produits en cuir, des tapis, du mobilier en plastique, de la céramique, des produits chimiques, de l'acier, del'aluminium, du papier, des produits pétroliers, et des équipements de transport; tous destinés à la consommationinterne du pays.
Les usines produisent aussi pour l'exportation des machines agricoles et des produits laitiers, de laviande et de la laine.
On fabrique des avions à Hamilton.
Les usines qui manufacturent des produits destinésl'exportation, sont généralement grandes alors que celles qui travaillent pour le marché intérieur sont plutôt depetite taille.
Auckland est le principal centre industriel, suivi par Wellington et Christchurch.
Les autres citésindustrielles d'importance sont Whangarei (lieu du centre de raffinage de la Nouvelle-Zélande), Hamilton, Tauranga,New Plymouth, Napier and Palmerston North sur l'Ile du Nord; et Nelson, Dunedin et Invercargill sur l'Ile du Sud.
Lestransports: En dépit de la nature chaotique du relief, la plupart des régions néo-zélandaises sont très accessiblespar la route.
Le réseau routier est bon, même dans les districts ruraux, et des autoroutes modernes ont étéconstruites autour des grandes cités.
Des services d'autocars relient les villes entre elles.
L'axe nord-sud, entreAuckland, Wellington, Christchurch et Dunedin supporte la majorité du trafic routier.
Le réseau ferroviaire est lapropriété du gouvernement mais dépend administrativement de la corporation nationalisée du New Zealand Rail.
Lesvoies ferrées relient la plupart des grandes villes entre elles et une partie des plus petites localités.
Suite à lacroissance des services aériens et du transport routier, la fréquentation du service ferroviaire a diminué.
Cependant,le train est toujours utilisé de manière soutenue pour le transport des marchandises sur de grandes distances.
Tousles centres importants sont reliés par des services aériens.
Une restructuration a permis de créer une plus grandeconcurrence entre les compagnies aériennes nationales et internationales.
La compagnie nationale, Air New Zealand,a acquis des petites entreprises privées transportant du fret et des passagers.
Elle est cependant fortementconcurrencée par Ansett-New Zealand.
Les vols internationaux sont effectués par Air New Zealand et par unevingtaine de compagnies internationales.
Les aéroports nationaux sont situés à Auckland, à Wellington et àChristchurch.
La création de compagnies commerciales pour administrer les aéroports est devenue unepréoccupation nationale.
Les services maritimes, bouée de sauvetage du commerce international, transportent.
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Climat, végétation de la Nouvelle-Zélande (géographie).
- NOUVELLE-ZÉLANDE (géographie).
- L'économie Nouvelle-Zélande(géographie).
- NOUVELLE-ZÉLANDE de 1990 à 1994 : Histoire
- Nouvelle-Zélande de 1920 à 1929 : Histoire