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HGGSP Crises et fin de la démocratie : le Chili de 1970 à 1973

Publié le 13/02/2022

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« HGGSP Crises et fin de la démocratie : le Chili de 1970 à 1973 1°) Les États-Unis sont devenus au fil du temps un des plus grands régimes capitalistes de l’histoire.

De plus, les États-Unis se sont fait un ennemi, le communisme.

C’est donc la raison de leur crainte de Salvador Allende, ayant la volonté de mettre en place un régime politique.

À l’intérieur même du Chili, le peuple le craint car ses décisions pourraient entraîner une révolution, qui arrivera en 1973 et entraînera le suicide de Allende. 2°) Le régime mis en place par Allende étant un régime communiste, les classes sociales favorisées sont naturellement les classes populaires. Dans le secteur économique Allende hausse les salaires, socialement, il ouvre un programme de santé publique, des dispensaires, des programmes de logement, enfin culturellement, il ouvre des écoles dans les quartiers populaires, il met en place une distribution de fournitures scolaires, afin de permettre à tous d’accéder à la culture et à l’éducation. Les classes populaires, soutiens du régime communiste, ont une seule crainte, la montée en puissance des groupuscules d’extrême droite aidés par les militaires voulant la chute d’Allende. 3°) Allende et sa politique sont au centre de tensions dans le monde entier.

En effet, il compte de nombreux ennemis, le premier étant les États-Unis, dus à leurs idéologies opposées.

De plus leur régime politique ne bénéficie pas du soutien de l’entièreté de la vie politique Chilienne, l’armée, l’industrie sont notamment opposés au régime, n’écartant pas le danger d’un probable coup d’état orchestré par ses puissants opposants. Enfin, le destin de la démocratie Chilienne, et plus généralement de l’Amérique latine, dépend de la réussite d’Allende dans sa politique qui pourrait contribuer au renouveau du Chili. 4°) Le coup d’état du 11 septembre 1973 se démarque de plusieurs coup d’état, notamment en Afrique, par son organisation.

En effet, les militaires attaquant le palais présidentiel « à pied » ne sont pas seuls.

Ils sont appuyés par des chars mais également par l’aviation.

Des renforts. »

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