GUERRE D'ALGERIE
Publié le 17/11/2012
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«
français n’est d écid ée par le Conseil constitutionnel fran çais qu’en 2010.
· L’absence de r
éformes en faveur des musulmans s’explique également par
l’
état de l’opinion publique fran çaise, traumatis ée par la d ébâcle de 1940 et
l’occupation. Celleci s’accroche encore
à l’id ée de la puissance coloniale de la
France et de l’ « Alg
érie fran çaise » en particulier. Comme le d éclare le ministre
de l’int
érieur fran çais Fran çois Mitterrand au moment de l’insurrection de 1954 :
« L’Alg
érie, c’est la France ».
3. Le nationalisme alg
érien et le d ébut de l’insurrection
· La mont
ée du nationalisme s’exprime ouvertement d ès la fin de la guerre : le 8
mai 1945, des d
éfilés sont organis és dans les villes de S étif et Guelma pour
f
êter la victoire. Des violences éclatent et font plus d’une centaine de morts c ôté
fran
çais et plusieurs milliers dans la population musulmane.
· Deux mouvements politiques repr
ésentent le nationalisme alg érien avant le
conflit.
L’UDMA (Union de d
éfense du manifeste alg érien), dirig ée par Ferhat
Abbas, ne revendique pas l’ind
épendance mais une participation d émocratique
des Alg
ériens au sein d’une Alg érie f édérée à la France. Le MTLD (Mouvement
pour le triomphe des libert
és d émocratiques) de Messali Hadj r éclame pour sa
part la formation d’une assembl
ée constituante et le d épart des troupes
fran
çaises d’Alg érie.
· C’est au sein de ce second mouvement qu’un groupe de six dissidents men
és
par Ahmed Ben Bella et Mohammed Boudiaf d
écident de passer à l’action : le
1 er
novembre 1954, ils organisent une dizaine d’attentats qui font 8 victimes et
annoncent simultan
ément la formation d’un FLN (Front de lib ération national)
dont le but est l’ind
épendance imm édiate.
II.
Les grandes étapes d’une « guerre sans nom »
1. L’escalade
· Le pr
ésident du Conseil Pierre Mend ès France envoie des renforts de police et
proposent des r
éformes qui sont rejet ées par l’assembl ée nationale.
L’ann ée
suivante, le gouverneur g
énéral Jacques Soustelle tente également de mettre
en place des r
éformes, mais les « massacres du Constantinois » font plus d’une
centaine de victimes europ
éens et de musulmans autour de Philippeville et la
r
épression s’organise contre l’Arm ée de lib ération nationale (ALN).
· Les premiers appel
és du contingent sont envoy és en Alg érie tandis que les
violences se multiplient : les massacres perp
étrés à l’initiative du FLN frappent
des europ
éens et des musulmans accus és de « collaboration ». La r épression
2.
»
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