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Génocide

Publié le 29/12/2014

Extrait du document

« Nuit et Brouillard », Alain Resnais et commentaire de Jean Cayrol, 1955. Présentation des artistes : Alain Resnais est un réalisateur français, également scénariste et monteur, né en 1922 à Vannes (ds le Morbihan) et mort le 1er mars 2014 à Paris (à l'âge de 91 ans). A la fin des années 1940, il commence à réaliser des courts métrages et moyens métrages documentaires qui marquent le public et la critique notamment avec : Van Gogh, Guernica et surtout Nuit et Brouillard, premier film de référence sur les camps de concentration. Il est un cinéaste qui apprécie les expérimentations, en étant capable de se remettre en question à chaque nouvelle réalisation. Alain Resnais est reconnu pour sa capacité à créer des formes inédites et à enrichir les codes de la représentation cinématographique par son intéressement à d'autres arts tels que la littérature, le théâtre, la musique, la peinture ou encore la bande dessinée. Il recevra par la suite plusieurs récompenses (césars). Toutefois, le réalisateur Alain Resnais n'est le seul à avoir participé à ce film très marquant. Ainsi, Jean Cayrol prête son aide afin d'exposer son exp&e...

« disparaitraient dans le secret absolu.

Ainsi, les déportés juifs, avaient se symbole NN sur leur tenue de prisonnier.

.Description et explication du film : On pourrait diviser le film en deux grandes parties.

La première montrerait alors une mort par épuisement des juifs qui se déroule de 1933 à 1941, en les faisant travailler (dans des usines de caoutchouc, faisant porter des fontes, etc).

La seconde serait ainsi, plus consacrée à l’anéantissement, et l’extermination des juifs par différents moyens comme le gazage dans les chambres à gaz ou les fusillades près de tranchées (1941-1945).

En 1942, une décision radicale est prise par les Allemands.

Il s’agit de de l’extermination systématique de tous les juifs par le gazage c’est ce qu’on appellera « la solution finale ».

Ainsi, les prisonniers sont tous déportés par milliers dans des salles d’extermination, qu’on appelle aussi chambre à gaz.

Pour ne laisser aucune trace de ses meurtres à répétition les corps sont brûlés par les Sonderkommandos.

On remarque la présence dans le film, de 3 types d’images différentes.

Les images en noir et blanc qui expriment le passé et les événements l’accompagnant.

Les photographies nazies aussi en noir et blanc jouent le même rôle (prise sur le terrain).

Enfin, il y a les imagines en couleurs qui représentent le présent et ce que sont devenus ces lieux aujourd’hui.

Le rôle de la musique est aussi très important car, elle accompagne les émotions et atténue l’horreur des imagines en accompagnant le commentaire récité par Michel Bouquet, avec une simple balade.

Une photo censurée par la France ? Une photo comportant un gendarme français à Pithiviers dans un camp de concentration a été censurée par la France.

Le pays ne voulait pas être impliqué et surtout ne voulait pas reconnaître cet acte si longtemps gardé et révélé sous la directive de M.

Jacques Chirac.

Il existe donc deux versions : celle censurée, où le képi du gendarme a été retiré laissant penser que c’est un soldat nazi dans un camp de concentration français.

Et, la version originale comporte le gendarme et son képi.

Conclusion : Ce documentaire a été réalisé pour choquer le public et mettre les populations face à la réalité du génocide de la 2 nd guerre mondiale.

L’œuvre cherche à lutter contre le « négationnisme ».

Ainsi, le film entretient la mémoire des camps et lutte contre la banalisation.

Il marque une période qui restera gravé dans mémoire de chacun et qu’il ne faut pas oublier. Ouverture : Si c’est un homme , Primo Levi.. »

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