Etude de cas d'Histoire n°3 Charles de Gaulle, une vie d'engagements
Publié le 27/05/2015
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04/05/2015 Etude de cas d'Histoire n°3 Charles de Gaulle, une vie d'engagements P 37 à 41 Le patriote (p 36-37) Les craintes exprimées par le capitaine au lendemain de la signature du traité de paix entre les Alliés et l'Allemagne à la fin de la Première Guerre mondiale sont le non-paiement des réparations par l'Allemagne et le peu d'empressement des Alliés, Anglais et Américains, à veiller à l'application du traité. De Gaulle, dans cette lettre, voit l'évolution des rapports franco-allemands de mauvaise oeil. Pour lui, la France doit rester sur ses gardes contre l'Allemagne. Le principal argument qu'utilise de Gaulle pour convaincre le ministre Reynaud de la nécessité d'accélérer la production de chars en France est d'alerter le ministre de l'ampleur de l'armée allemande (divisions blindées et mécanisées, un personnel d'élite) tout en la comparant à une France faible qui n'utilise pas tout son potentielle. Il parle pour cela du fait que la France n'utilise pas sa « seule carte efficace » et que c'est le Reich (en désignant l'Allemagne toute entière) qui la « joue ». Les événements ...
«
2.
Les objectifs de la planification sont à la fois économiques : développer la production, la
productivité, les échanges, les équipements.
Mais également sociaux : mission d’assurer le
plein-emploi, d’améliorer le niveau de vie et l’habitat.
3.
Ces articles de la Constitution assurent la prééminence du président de le République car il
donne énormément de pouvoir à celui-ci.
Par exemple il peut dissoudre facilement
l’Assemblée Nationale, il nomme également le premier ministre et les ministres sur
proposition du premier ministre, peut proposer des projets de lois au Parlement, il est le chef
de la diplomatie, le chef des armées, l’article n°16 lui donne même les pleins pouvoir en cas
de crise grave (par exemple, peut agir sans l’accord du Parlement et du gouvernement).
4.
De Gaulle voulait donner un pouvoir fort au président de la République et supprimer le grand
défaut de la IVème République, l’instabilité gouvernementale (22 gouvernement en à peine
12ans), les convictions exprimées par le général de Gaulle en 1946.
En 1958, la Constitution
est bien conforme aux convictions de de Gaulle exprimées en 1946 : l’instabilité
gouvernementale disparue et un pouvoir très fort du président de la république.
5.
L’argument essentiel que le général de Gaulle emploie pour justifier la création d’une force
atomique nationale est de montrer, de citer, la possession des seules forces nucléaires chez les
deux « hégémonies » américaine et soviétique.
Et de mieux mettre en évidence que pour sans
protéger et être à arme égale il en fallait une également.
C.
Un homme politique aussi controversé qu’admiré (p 40-41)
1.
Les arguments juridique et politique emploie François Mitterrand pour dénoncer ce « domaine
réservé » sont En dénonçant tout d’abord les pratiques illégales mais dénonce surtout un excès
d’autorité et une atteinte morale aux principes républicains, ainsi qu’aux droits du Parlement.
2.
La seule motivation du commando de cet attentat est l’esprit de rancune et la haine à l’égard
d’un homme politique que l’OAS accuse d’avoir trahi les Français d’Algérie.
3.
Le document montre des passants ou des commerçants attentifs à la parole du chef de l’État et
attroupés devant un poste de télévision à une époque où celle-ci est loin d’avoir pénétré dans
tous les foyers.
Ce document montre donc bien un lien direct entre le général de Gaulle et le
pays, qui passe par la télévision (dans ce document) mais la radio également.
Ainsi il reste en
contact permanent avec la population française, ceci à une grande importance pour le général.
4.
On reconnaît le chef d’Etat sur cette caricature grâce à la silhouette et le képi.
Cette caricature
dénonce, avec le slogan « LA VOIX DE SON MAITRE » sur le l’écran où de Gaulle tien, la
censure et le contrôle de l’information.
Libérer la parole est l’un des grands rêves des
contestataires de mai 1968.
5.
Le mérite majeur du général de Gaulle pour cet historien est d’avoir voulu rendre à la France
et aux français dignités, grandeur et indépendance et donc fierté nationale.
6.
La volonté d’afficher sa filiation gaulliste est souvent l’expression d’une conviction sincère ;
elle peut être aussi une attitude purement opportuniste..
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