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Échec américain en Iran

Publié le 27/03/2019

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Échec américain en Iran

la tentative du 23 avril 1980 pour libérer les cinquante-trois otages américains retenus depuis le 4 novembre 1979 se solde par un échec. le président Carter le paiera quelques mois plus tard à l'élection présidentielle»

 

Le drame commence le 4 novembre 1979. Des partisans fanatiques de l'ayatollah Khomeyni prennent d'assaut l'ambassade des États-Unis à Téhéran, maîtrisent les marines qui assurent la garde, occupent les bâtiments et retiennent en otages environ cent Américains. Ils mettent à sac l'ambassade, maudissant les États-Unis qu'ils qualifient de « Grand Satan » et exigeant l'extradition du chah qui suit un traitement médical sur le territoire américain.

Cadavres carbonisés des soldats américains et hélicoptère incendié, en 1980

Au cours des semaines qui suivent, Khomeyni reste en arrière plan. Il s'en tient à l'explication selon laquelle ces Américains ne sont pas détenus par le gouvernement iranien, mais par les étudiants qui ont occupé l'ambassade. Quelques otages sont libérés - avant tout des femmes -mais en fait l'Iran veut défier les États-Unis. Une commission de l'ONU doit être constituée à la seule condition exigée par les Iraniens de faire comparaître les otages pour qu'ils reconnaissent les crimes du chah et des États-Unis, le << Grand Satan >>. Cette commission ne verra jamais le jour. Tous les efforts déployés par le président Jimmy Carter en vue

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« l'imp ossibil ité de pour suivre son vo l.

Ne disposa nt plus que de cinq hélic optères, Beckwish se voit alors contr ain t de demander d'inter­ rom pre l'opération.

Mais un des hélic optères heurte un avion ravita illeur d'esse nce et prend feu, faisant huit vic time s.

Leu rs cadavr es calci nés sont abandon nés au mili eu des débris de l'épave à 300 km au sud -est de Téhér an.

L'Iran triomphe.

À la télé vision américai ne, Carter fait part à ses compatrio tes de l'échec de l'opération et en assu me toute la responsa bilité.

Khome yni ajo ute encore à la situation en qual ifiant l'opér ation de sa uvetage d'. »

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