Discours de Milan, 1er novembre 1936 (commentaire)

« elle pent tranquillement, en ce qui nous concern, disparattre. De touts facon, nous n'avons pas oublie at nous n'oublierons jamais que la Societe des Nations a organise avec des methodes d'une habilete diabolique une inique egression contra le peuple italien.

Blle a toad d'affamer ce peuple, de Adult* a la famine des honnnes, des femmes, des enfants; elle a cherch6 d briser notes effort militaire, a s'opposer a Pcouire de civilisation que nous accomplissions a environ 4 000 km de In mare-patrie...

Cette verticale Berlin-Rome n'ese pas one doison etanche, c'est plat& un axe =tour duquel peuvent evoluer tom les hats europeens mimes d'une volond de collaboration at de pair L'Allemagne, bier qu'entouree at =Writee de tontes parts, n'a pas adhere aux =actions, at je vous rappelle que Men avant les entretiens de Berlin, PAllemagne avait reconnn en fait l'Em- pire Italian. Rien d'etormant si, aujourd'hui, nous arborons le drapeau de Panti-bolchevisme.

Mats eau none anden dragoon! Main nous soirunes nes sous ce sign, mais nous avons combattu contra cot ennemi at nous l'avoas vaincu!...

e Citi par S.

Berstein, 36, armee divisive en Europe. Commentaire compose on reponse aux questions suivantes, as choir da candidat : i° Presenter at expliquez les griefs de Mussolini a l'encontre de la Societe des Nations. 2.

Quelles consequences en tire-t-il pour les relations exterien- res de Phalle fasciste? 3° Quels aspects de Pideologle fasciste apparaissent a travers ce torte? (Montpellier - sujet II) CONSEILS DE REDACTION C'est le meme discours, mais it y a des coupures dans le second texte.

Les questions sont sensiblement les memes et le candidat a tout interet I les integrer dans le plan de son devoir. PLAN-DEVOIR Introduction Situer le texte et son auteur dans le contexte historique.

Le discours de Milan du Ier novembre 1936 est connu.

Mussolini est elle peut tranquillement, en ce qui nous concerne, disparaître.

De toute façon, nous n'avons pas oublié et nous n'oublierons jamais que la Société des Nations a organisé avec des méthodes d'une habileté diabolique une inique agression contre le peuple italien. Elle a tenté d'affamer ce peuple, de réduire à la famine des hommes, des femmes, des enfants; elle a cherché à briser notre effort militaire, â s'opposer à l'œuvre de civilisation que nous accomplissions à environ 4 000 km de la mère-patrie...

... Cette verticale Berlin-Rome n'est pas une cloison étanche, c'est plutôt un axe autour duquel peuvent évoluer tous les états européens animés d'une volonté de collaboration et de paix L'Allemagne, bien qu'entourée et sollicitée de toutes parts, n'a pas adhéré aux sanctions, et je vous rappelle que bien avant les entretiens de Berlin, l'Allemagne avait reconnu en fait l'Em­ pire italien.

Rien d'étonnant si, aujourd'hui, nous arborons le drapeau de l'anti-bolchevisme.

Mais c'est notre ancien drapeau! Mais nous sommes nés sous ce signe, mais nous avons combattu contre cet ennemi et nous l'avons vaincu!... » Cité par S.

Berstein, 36, année décisive en Europe.

Commentaire composé ou réponse aux questions suivantes, au choix du candidat : i° Présentez et expliquez les griefs de Mussolini à rencontre de la Société des Nations.

2° Quelles conséquences en tire-t-il pour les relations extérieu­ res de l'Italie fasciste? 3° Quels aspects de l'idéologie fasciste apparaissent à travers ce texte? (Montpellier — sujet II) CONSEILS DE RÉDACTION C'est le même discours, mais il y a des coupures dans le second texte.

Les questions sont sensiblement les mêmes et le candidat a tout intérêt à les intégrer dans le plan de son devoir.

PLAN-DEVOIR Introduction Situer le texte et son auteur dans le contexte historique. Le discours de Milan du Ier novembre 1936 est connu. Mussolini est. »