Devoir Maison De Géographie : LA MARTINIQUE

« DERDOUR Ayoub 1 eS un niveau d’exposition de l’aléa volcanique qui est très élevé.

Le centre de l’île quant à lui, est surpeuplé.

Les infrastructures (aéroport international, port maritime) s’y concentrent, ce qui explique l’implantation d’entreprises à cet endroit-là (la seule zone industrielle de l’île) et donc, c’est ce qui engendre la surpopulation du centre de l’île.

De plus, « l’urbanisation s’étend » au centre de l’île, « par Saint-Joseph, vers Le Robert ».

En ce qui concerne le sud de l’île, celui-ci reste toutefois dynamique par le tourisme (stations balnéaires …), éloigné de tous risque volcanique malgré les cyclones probables. 3- « Une île-ville », ce titre est une opposition de deux termes qui reflète bien la situation de la Martinique.

En effet, une île est toujours vaste, désertique, alors qu’on ce qui concerne la Martinique, l’urbanisation ne cesse d’augmenter, surtout au centre de l’île, de l’ouest vers l’est.

De plus, depuis 1900, la population de la Martinique c’est multipliée par deux, malgré l’éruption explosive de la Montagne Pelée en 1902.

La Martinique est une grande ville. Les espaces martiniquais qui sont les plus actifs sont le centre et le sud de l’île.

En effet, le centre regroupe de nombreuses infrastructures (aéroport international, port maritime), « la » zone industrielle nécessaire aux habitants pour trouver un emploi rémunéré.

Le Sud quant à lui, est un espace touristique avec de nombreuses stations balnéaires.

De plus, l’ouverture de liaisons aériennes, en 2011, au départ de Paris-CDG, facilite le transfert des touristes européens vers la Martinique.

D’autre part, tout le littoral Est et sur quelques espaces du centre de l’île concentrent la majorité des plantations de l’île (bananes et canne à sucre). 4- La Martinique est représentative des anciennes « îles à sucre » puisqu’elle récole et exporte de la canne à sucre.

En effet, la superficie des plantations représente environ 25 % du territoire martiniquais, ce qui reflété l’importance de l’agriculture en Martinique.

Cette production agricole, en 2009, lui a rapporté plus de 188 millions d’euros.

Cependant, elle exporte moins qu’elle importe, ce qui se traduit par des niveaux de vie inférieurs à la moyenne de ceux des régions métropolitaines (environ 30 %) et par des flux migratoires notables vers les métropoles. Page 247 : 1- Les diverses formes de fragilité sociale et économique en Martinique sont liés dans un premier temps, au taux de chômage très élevé, environs 22 %, aujourd’hui.

A cela, s’ajoute un mode de vie chère pour les habitants de Martinique (prix élevé des produits de consommation dut à l’importation de la métropole).

De plus, la Martinique importe plus qu’elle exporte, ce déséquilibre s’explique par le manque d’entreprises sur le territoire martiniquais : « la Martinique enregistre près de six fois plus d’entrées que de sorties de biens ».

L’inondation et les glissements de terrains sont des facteurs importants qui freinent. »