culture antique: origine de Rome

« (2) origine de Rome Ce texte : appelé parfois le mythe des races, parfois le mythe des âges : passage le plus connus : le mythe des ors.  Récits universels qui est utilisé dans d’autres civilisations, raconte après l’étape de la non-séparation entre le monde des dieux et le monde des hommes, non temporalité, dégradation de l’espèce humaine  motif mythologique qui montre une succession des âges : donc temporalité linéaire, or ce dont il s’agit plus une sorte de représentation abstraire du temps, avec durée hors temporalité du temps historique, et temporalité d’ordre mythologique. La version qu’on a est celle des idées qui date sans doute du 8 e siècle av. JC, les premiers textes littéraire quasi qu’on ait.

Esiodes est un paysan du nord de la région de l’attique, la région de la beausie, issue d’une famille de paysan de la béosie : on a encore 2 œuvres de lui : la théogonie, et les travaux et les jours  long poème didactique : cad écrit en vers, et vision explicitée dans le sens d’une utilité, avec des vers à destination de son frère parsec, sorte de manuel d’agriculture et d’élevage, or écrit en vers. Théologie : théo : les dieux et gone : la création (différent de agone : le combat) génération, descendance  donc généalogie des dieux, la formation du mande à laquelle elle aboutit.

Texte épique de caractère étiologique : fiction sensé proposé des explications, expliquer l’origine d’un certain nombre de réalité. Mythe étiologique : mythe : fiction à partir d’éléments qu’on classe dans la catégorie du merveilleux, et étiologique : associé à la science, on propose une cause.

Platon montre bien que pour certain type d’objet de pensée, la pensée rationnelle n’aide pas donc il faut essayer de penser autrement, donc le mythe est parois un recours pour penser  on est là-dedans Nous sommes avec la théogonie des iodes : extrait se situe presque au tout début de l’œuvre  invocation aux muses et annonce l’objet de son écriture et commence avec les épisodes de la sortie du chaos puis le double épisode de prométhée et de pandore : ces deux épisodes sont complémentaires l’un de l’autre, et le récit d’Hésiode est présenté comme le couronnement de ces deux épisodes.  Lecture structuraliste.

Le mythe de prométhée sert à définir la nature humaine par distinction avec les dieux puisqu’au débuts il ne sont pas distinct.

Le mythe de prométhée et de pandore : servent à car ils sont complémentaires car ces deux aspects du mythe montrent la conséquence de la séparation des homes par rapport aux dieux en déclinant ce qui apparait dès lors comme le propre de la nature humaine : mauvaise infinie, des lors que les hommes on manger la viande périssable sont mtn périssable  chœur de la nature humaine : mortalité Mythe des âges et des races : décliner toutes les conséquences de cette nature à parti de la nature humaine périssables La nature humaine traverse les époques : à la fois les mêmes et à la fois différent.  Les hommes se distinguent des dieux car ils ne vivent plus sur l’Olympe et meurt, ils sont soumis à la durée et entouré par une éternité bornée.

Il se caractérise par une mortalité mais ne pèse pas encore les mots des malfaits, Ils sont tombés dans le temps mais pas encore dans les malédictions liées à la nature humaine (cultiver la terre… = la culture) « grdiens des mortels » quand ils meurt deviennent des demi dieux ou des héros (demi dieux) ils ont quitté la terre mais leur ames planent encore pour protéger les mortels.

Puis dexuième races =.... »