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1979: L'agriculture de l'Inde : bases, systèmes de culture et productions, problèmes

Publié le 30/04/2011

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agriculture

Introduction La présentation du sujet montrera l'importance de l'agriculture dans l'économie indienne et ses insuffisances. Ceci de façon à amener le candidat à poser trois questions qui seront les grandes lignes du plan :

— Quelle est la place de l'agriculture dans la vie économique et sociale indienne? — Quelle est la répartition et la variété des productions? Quels en sont les aspects techniques? — Quel bilan peut-on tirer des grandes tentatives de modernisation de l'agriculture?

agriculture

« • Les périmètres irrigués du Penjab indien. • Cultures de riz kharif et rabi : chronologie saisonnière des travaux agricoles. • Les assolements itinérants des hauts plateaux (riz non irrigué, millets, friches). III.

Deux impératifs : vaincre la famine et exporter 1.

Le demi-échec de la réforme agraire • Les fondements : limiter la grande propriété, distribuer de la terre aux paysans les plus pauvres. • Une loi détournée dans ses applications par la puissance des notables locaux qui ont souvent conservé l'essentielde leurs avantages.

• Les terres distribuées ne résolvent pas le problème du surpeuplement et de la sous-alimentation. 2.

Le demi-succès de la révolution verte • Une révolution venue de l'extérieur, pas toujours bien adaptée au support pédologique. • Des progrès limités aux régions déjà les plus riches et entraînant une grosse consommation de produits industriels. • Une culture mécanisée à hauts rendements qui pousse à remplacer les métayers par des ouvriers agricoles ennombre plus restreint. 3.

Des foyers d'agriculture et d'élevage rentables.

Intégrés au reste de l'économie, ces foyers reposent sur : • le rôle dynamique des coopératives d'achat et de vente, qui avantagent surtout les paysans disposant déjà deressources; • l'effet d'entraînement des marchés urbains sur les exploitations périphériques des grosses agglomérations; • la diversification des activités dans les campagnes, lancée par le gouvernement actuel. Conclusion Une évolution naturelle et une politique économique qui se sont conjuguées pour exclure du progrès et dudéveloppement une masse paysanne misérable, considérée comme trop lourde à tirer de la famine.. »

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