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TPE sur les armes à feu aux Etats-Unis

Publié le 04/09/2012

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etats unis

Le droit de posséder une arme à feu n’est pas seulement basé sur le second amendement. Le citoyen Américain trouve aussi dans son droit celui de détenir une arme pour se défendre, se protéger, si sa vie est menacée, principe de légitime défense que nous retrouvons dans la plus part des démocraties au sein desquels le débat n’est pourtant pas un sujet de division majeur. L’arme à feu peut être donc utilisée par un citoyen innocent et honnête dans le cas d’une agression armée.    La question de fond sur le port d’armes aux Etats-Unis porte en réalité sur la réponse collective que la société apporte au maintien de l’ordre. Ainsi, les simples citoyens qui portent des armes dissimulées produiraient le bien public, donc une sécurité qui serait exercée par le peuple en lui-même En écartant toute restrictions à la détention d’armes et en la posant comme droit absolu, les partisans du port d’armes expriment ou contribuent à faire de l’autodéfense une alternative au maintient de l’ordre par la force public. En d’autres termes, la légitime défense s’exerce dans des conditions particulières alors que l’autodéfense institue le droit de répondre à la violence par la violence en toutes circonstances.  C’est dans ces conditions qu’ils peuvent affirmer que toute entrave crée une inégalité entre citoyens, arguments que peuvent aisément retourner leurs opposants.  L’enjeu social est donc considérable et le débat important pour l’avenir de la société Américaine. Si l’autodéfense est banalisée, elle creusera inévitablement une inégalité entre riches et pauvres, états…par rapport au droit à la sécurité. Inversement si le débat est posé c’est certainement parce que l’état n’est pas en mesure de garantir aujourd’hui la sécurité à chacun. L’arme à feu serait indéniablement donc l’outil de choix à la participation des citoyens à la lutte contre la délinquance et la criminalité. Le fait que le citoyen soit armé aurait un effet de dissuasion sur les criminels et délinquants.  Vue de nos démocraties, le débat parait préjugé.  Toute fois l’historique particulier des Etats-Unis par rapport aux armes  fait qu’il est en réalité indécis et que  l’autodéfense comme mode à part entière social du maintient de l’ordre reste pleinement d’actualité. La question de l’utilisation de l’arme à feu en état de légitime défense a suscité l’intérêt de certains criminologues.             Gary Kleck  et  Marc Gertz, chercheurs au département de criminologie de la Florida State University, se sont intéressés à l’usage des armes à feu par les particuliers pour se défendre sans qu’un seul coup ne soit tiré, puisqu’il suffit parfois d’en brandir une pour décourager un délinquant ou un criminel.

etats unis

« Cependant Thomas Jefferson disait «qu'aucun homme libre ne devrait être désarmé».

On peut donc voir qu'en effet il y a différents avis sur ce sujet là.

Mais leursavis change peut être par différentes causes telles que la culture de chacun, puis encore l'endroit de résidence et le secteur d'activité. Prenons par exemple le cas des seniors, qui au fur et a mesure ont commencé a acheter de plus en plus d'armes et même fondé un groupe ( Senior Milita) pour seretrouver et parler des armes .

Le groupe a été crée par John McCormack. On aurait tendance a croire que ce sont plutôt les individus d'entre 30-50 ans qui possède le plus d'armes, et pourtant non , ce sont les hommes de plus de 60 ans lesplus grands acheteurs .D'après des statistiques nous pouvons voir qu'en 1982, seuls 30% des Américains de plus de 65 ans possédaient une arme contre 38% des 40-49 ans.

Désormais 37%des seniors déclarent avoir une arme à leur disposition contre 24% des quadragénaires.Dans le domaine des homicides par armes a feu , même si le nombre de mort c'est stabilisé autour de 11 000 en 2003 il n'en reste pas moins qu'avec un pic en 1993de 17.048 victimes les États-unis on un des taux les plus élevée parmi les pays industrialisés[1].Les chiffres sont éloquent, on constate d'après le site anglais de brady campaing les chiffres suivants: 30.242 (soit 83 par jour) de victimes par armes a feu aux etatsunis en 2003 qui sont classé en 3 catégories: 17.108 suicides, 11.829 homicides et 762 tirs non intentionnels ou accidentels. Au cours de leurs mandats 9% des presidents tels que James Abraham Garfield en 1881.

Il est assassiné par Charles Guiteau.

C'est le président qui a eu le plus courtmandat.

Ensuite William Mac Kinley qui est aussi assassinés en septembre 1901 par un anarchiste du nom de Czolgosz.

Puis John Fitzgerald Kennedy en 1963.La dernière tentative d'assassinat fut celle intentée contre le président Ronald Reagan en 1981.

Cela eut lieu en mars 1981 à Washington.

Reagan élu depuis peu,reçut 6 balles tirées par John Warnock Hinkley Jr.

Aucune balle n'atteignit directement le président, mais l'une d'entre-elles rebondit sur le blindage de la voiture etl'atteint sous le bras. On se demande alors pourquoi il y a autant d'homicides au Etats-Unis? Il s'agit peut être dû au manque de contrôle sévères des armes, et de la vente libre.Le taux d'homicide commis sans armes à feu reste quand même aussi élevé que ceux «tous moyens meurtriers confondus» de plusieurs pays européens.

On remarquedonc qu'aux états unis le taux d'homicides reste quand même très élevé avec ou sans armes à feu. Mais pourtant d'après des statistiques on sait qu'il y a une grande disparité régionale dans le taux d'agression. Certains états font peu de contrôle et l'on remarque que les taux d'homicides sont pas très élevée et se comparant même a ceux du canada et la France.

C'est le cas duDakota du Nord ou du New Hampshire, entre autres.

Alors que si on regarde les grandes agglomérations urbaines tels que les villes de Washington ou Los Angeles ,on y applique les lois sur les armes les plus stricte et pourtant c'est là qu'il y a le plus de meurtre . Pourtant il y a des sociétés où il y a un faible taux d'homicides de crimes ,alors qu'ils ont une politique libérale par rapport aux armes.

La Norvège et la suisse ledémontre.

Cependant les pays tels que la Jamaïque et le Mexique connaissent un niveau très haut de criminalité alors que les armes sont très règlementés. Donc le nombre d'armes et les règlementations ne joue pas un rôle déterminant par rapport aux taux d'homicides et cela n'étonne pas les criminologues et sociologues. Le criminologue Gary Kleck a dit que plus de 2 millions de cas par an aux Etats- Unis était des situations de défense mais les statistiques officielles montrerais qu'ils'agit d'achevé un million de crimes.[2] Kleck a reçu un prix en 1993 pour son livre Point Blank: Guns and Violence in America. L'économiste John Lott a calculé que la libéralisation du port d'arme a diminué les meurtres de près de 8 %, les viols de 5 % et les agressions violentes de 7 %.

Sitous les états américains avaient adopté une telle politique en 1992, pas moins de 1 500 meurtres et 4 000 viols auraient pu être évités [3]. D'autres causes de cette vente libre d'armes c'est la school-shooting.

Il s'agit de un sujet qui démontre que les enfants peuvent avoir accès aux armes très facilement etaussi être tués.

17 massacres à l'arme à feu ont eu lieu dans des écoles américaines faisant au total 48 morts et plus de 90 blessés [4].

Dernièrement, plusieursfusillades ont fait la une des actualités américaines mettant en évidence les problèmes soulevés par la disponibilité et la détention d'armes.

Prenons l'exemple de lafusillade de Dublane en 1996 qui a enlevée la vie a 16 enfants.

Les autorités on donc tout de suite réagi et on renforcé leurs lois.Cela montre que la non prise de mesure aux États-Unis est à la fois une question politique et culturel .Peu de politiciens se risqueraient à s'attaquer au deuxièmeamendement.

Et même si des mesure serais prise, 74% de la population est contre un bannissement total de leurs armes. La grande disponibilité en armes à feu accroît-elle la violence?Grâce a cette question on peux faire 2 constats scientifique: -Tout d'abord dans les pays industrialisés.

Plus il y a d'armes plus il y a de possibilités que celles-ci soient utilisé.

[5] Il est clair que la plupart des drames sont acause de la disponibilités d'armes immédiate.

Le fait d'avoir si facilement aux armes peu aussi encourager l'envie de l'utilisation de celle-ci ou même de planifier sonpropres suicide.

La possession d'armes augmente aussi le risque de féminicides (meurtres de femmes) qui se passe le plus souvent dans des foyers et qui a lieu luiaussi avec les armes.(6-7)-Ensuite le deuxième point c'est que les citoyens qui possède des armes a feu sont plus souvent victimes de crimes violent par des armes que les non détenteurs.

Et ilsont aussi un mode de vie plus violent que ceux qui n'en possède pas. On constate donc que les homicides sont dû par plusieurs facteurs , et le fait d'avoir une circulation libres d'armes a feu reste ambigu par rapport a si c'est ou pas lacause de ce chiffre de crimes par armes a feu. b) En France. Après s'être intéresser aux États unis on va ensuite faire une comparaison avec la France et étudier les différences . Commençons d'abords avec le point historique: La législation française règlemente la détention, la fabrication et le commerce des armes. Depuis 1939, les armes sont classées en huit catégories, qui déterminent le niveau d'autorisation nécessaire pour leur détention. Ainsi, les armes de première catégorie, considérées comme « armes de guerre » sont soumis à un contrôle rigoureux, alors que les armes de huitième catégorie nenécessitent ni autorisation ni déclaration pour leur détention. En l'espace d'une quinzaine d'années, la sécurité est devenue un thème médiatique et politique de tout premier plan, on en vient même parfois à se demander si lasécurité ne constitue pas désormais le principal thème politique en France.

En l'an 2000 le taux des homicides et tentatives d'homicides a baissé : il est de 3,6 faitspour cent mille habitants en contre 4,5 en 1990.

Quant aux viols, il sont certes en nette augmentation depuis les années 1980.

Toutefois, s'agissant d'une agressionclassiquement peu déclarée par les victimes (qui ont honte, peur des représailles, etc.), il est actuellement impossible de savoir si cela correspond à une augmentationdes faits ou bien à une augmentation du taux de plaintes des victimes.On constate aussi que le taux de suicide par arme à feu est très variable suivant les démocraties bien que toujours inférieur à celui des États-Unis.

En moyenne le taux. »

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