TPE: L'Histoire du tabac
Publié le 21/08/2012
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a- Tout d'abord chez les jeunes, on peut observer un manque de conscience : Un jeune, ne se rend pas compte des dangers de la cigarette , malgré le fait qu'il en entendent parler, il ne prend pas conscience du fais que ces risques ne sont pas lointains et qu'il peuvent le toucher personnellement. Il pense également que leur jeunesse leur permet de toucher a tout c'est a dire de tenter des expériences qui ne trouvent pas grave . De plus ils croient qu'ils ne deviendront pas indépendant , et sentent qu'ils pourront alors, s'ils le veulent, arrêter de fumer. Certains se considèrent comme non fumeurs, et ne touchent qu'a le cigarette lors de grandes occasions tels que des soirées . Pour eux ils n'ont pas un statut de « fumeur « . b- Une dépendance plus facile et de plus en plus tôt Or la dépendance s'installe sans qu'on ne soit obligé de le choisir. En effet, la dépendance peut installer dès les premières semaines après la première « taffe «. Les jeunes prennent alors une habitude de fumer qui ne les dérangent plus, ils ne différencient pas le danger que peut provoquer une cigarette avec celui d'un paquet . Leur consommation est donc importante chaque environ 7.8 par jeunes .

«
Le message alarme des scientifiques quand la toxicité du tabac va avoir un effet retentissant.Les premières études scientifiques concernant les effets du tabagisme actif sur le cancer du poumon sont celles, souvent oubliées, d'un Allemand, Müller en 1939.
Yfirent suite divers travaux épidémiologiques américains puis anglais qui débouchèrent sur la publication des rapports du « Royal College of Physicians » de Londres(1962) et du « Surgeon General » des Etats-Unis en 1964 : ceux-ci tirèrent la sonnette d'alarme et eurent un énorme retentissement.
Depuis lors, des mises à jourrégulières ont fait ressortir les multiples effets néfastes de fumée de tabac sur les cancers du poumon et de divers autres organes (dus aux goudrons), sur les maladiesrespiratoires chroniques (dus aux irritants), sur les affections cardiovasculaires et sur le fœtus (dus au CO et à la nicotine), pour ne citer que les principaux.
L'intérêtde l'arrêt qui réduit notablement les conséquences-santé d'un tabagisme actif antérieur a lui aussi été mis en évidence.Les effets délétères du tabagisme passif (c.
à d.
celui subi par inhalation de la fumée ambiante) ont été démontrés plus récemment, dans les années '70.
Moinsmarqués que ceux de l'inhalation directe de la fumée, ils sont pourtant indiscutables, et justifient les interdictions de fumer dans les lieux publics confinés, afind'assurer la protection des non-fumeurs.
b- … Ou pas ?Le tabagisme a malgré tout quelques effets favorables, notamment dans la colite ulcéreuse et la maladie de Parkinson.
Il exerce un certain contrôle sur le poidscorporel.
Ces avantages restent marginaux par rapport aux énormes risques encourus dans les autres affections.Les relations entre tabagisme et diverses maladies du système nerveux central, notamment la dépression et la maladie d'Alzheimer font aujourd'hui l'objet denombreuses recherches.
La nicotine semble avoir un effet antidépresseur, et bien que ce soit encore contesté, semble favoriser la maladie d'Alzheimer.
c- Des réactions anti-tabac.
En Europe les gouvernements vont s'inquiété des effets du tabac sur la société et vont préparer des lois anti-tabac qui seront accompagné de recommandations etdirectives a son écart.
La première loi prise en France fut la loi Simone Veil faite par elle-même qui était alors ministres de la santé.
cette lois éditée en 1976 obligeaitaux fabricants de cigarettes a mettre sur chaque paquet un avertissement sur les danger du tabac , elle interdit aussi la cigarette dans les lieux publics accueillant desmineures , dans les hôpitaux et les locaux d'alimentation.
Depuis les années 80, les signes d'alertes lancés par les pouvoirs publics sont nombreux.
Fumer devient " politiquement incorrect ", les personnalités du mondepolitique et ceux du show-biz évitent désormais de se montrer cigarette à la main.
Le nombre de lieux interdits aux fumeurs augmente, certains accros de la cigarettecommençant même à se plaindre d'une discrimination.
Il s'agit donc d'un grand tournant car le fait de fumer passe de bien vu a mal perçu par la société.
C.
Aujourd'hui
Alors que le tabac a été connoté positivement pendant certaines années.
Aujourd'hui le gouvernement fait tout le nécessaire pour diminuer cette consommation.
a- La lutte anti-tabacLa lutte contre le tabagisme est une priorité de santé publique : un fumeur régulier sur deux meurt du tabac.Et 5 000 personnes sont victimes du tabagisme passif chaque année en France.Alors nous constatons une prévention qui est de plus en plus présente.
Aujourd'hui les campagnes ont souvent recours à la peur pour atteindre leur objectif.
Ainsi, desimages de poumons nécrosés ou de bouches ravagées par le cancer, diffusés dans certains spot télévisés, sur des sites Internet ou dans la presse sont censées fairerenoncer le fumeur au tabac en induisant une angoisse face a la mort.Depuis peu de temps, suivant un décret du 25 avril 2003.
Les paquets de cigarettes sont également décorés de messages préventifs sur les faces latérales du paquet, letexte doit être imprimé horizontalement, de façon à couvrir au moins 10% de la surface correspondante.De plus elles devront être entourées d'un bord noir de plus de 3mm, n'interférant sans aucune façon avec le texte d'information donnée.
Ces messages sont destinés à choquer le fumeur, mais surtout à lui faire prendre conscience des risques qu'il prend.
Prenons un message souvent affiché :
« Fumer peut entraîner une mort lente et douloureuse » Celui-ci n'est pas anodin, et les termes utilisés construisent la phrase de façon a ce que les fumeurs prennentpeur et se désistent a fumer.
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La prévention se fait également à l'école, car de nos jours les jeunes sont fortement touchés par le tabac.On remarque que les préventions scolaires permettent une diminution du tabagisme.
En effet, avant 13ans, l'efficacité de l'information sur le tabac est bien établie.Les données objectives ont de l'impact et l'explication scientifique est efficace car les enfants comprennent bien les mécanismes du tabagisme.Entre 13 et 16 ans l'attitude change, les personnalités bascule avec l'arrivée de l'adolescence, et fumer a cet âge est souvent dut a un mouvement de d'opposition.
Pourles jeunes de 16 à 18 ans, le retour à la raison est à nouveau possible et l'argumentation scientifique objective reprend le pas sur l'accompagnement psychologiqueb- Un stigmatisation des fumeurs ?La question qui se pose réellement est celle qui concerne la stigmatisation des fumeurs.En effet au sens sociologique, fumer devient un stigmate dans notre société.
Aujourd'hui fumer est jugé comme un comportement négatif.
On fait en quelques sortesla guerre aux fumeurs.
D'ailleurs l'OMS et l'INPES montent une stratégie telle que le tabagisme devient une pratique « anormale ».
Cela influence alors cettepratique et en devient presque déviante.
Elle est également associée à des stéréotypes qui salissent ceux qui s'y adonnent.
Chez les fumeurs on observe alors une culpabilité naissante.Le bien d'un individu ou d'un groupe de population renvoie à des normes collectives dominantes au sein d'une société donnée.
Ceux qui les transgressent sontconsidérés comme immoraux, voir coupables.
On constate ainsi que le fumeur d'aujourd'hui ne rencontre plus la même acceptation sociale qu'il y a 50 ans.Il passe presque pour un pestiféré puisque les politiques de santé publique menées dans la plupart des pays industrialisés depuis quelques années ont débouché surune norme imposant des modes de vie sains et condamnant les comportements a risque : il ne faut pas fumer, ne boire de l'alcool qu'avec modération, limiter saconsommation de graisse et de sucre, manger 5 fruits et légumes par jours …
Les normes évoluent et dans notre société française nous avons donc put constater que la perception du tabac changer au fil des années.
II- Une prise de conscience radicale dans la société Française…A.
les dangersIl n'est pas si loin le temps où l'on ne voyait dans le tabac qu'un agréable moment de détente.
Même les soldats de la Seconde Guerre Mondiale avaient leurs.
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