TPE- Canada/Québec et La maladie mentale
Publié le 21/08/2012
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Une idée concernant la maladie mentale revient souvent : si une personne est atteinte de maladie mentale, c’est de sa faute. C’est donc une faiblesse ou un problème de personnalité, quelque chose que les personnes se causent elles-mêmes, pour attirer l’attention. Il existe également le mythe que ces personnes ne sont pas autonomes et pas utiles à la communauté. Pourtant, dans tous les domaines, et tout au long de l’histoire, les personnes atteintes de troubles mentaux ont contribués à la société. Il existe aussi des stéréotypes négatifs qui donnent lieu à des comportements discriminatoires, comme quoi les malades mentaux seraient violents, notamment à cause des idées véhiculées par les médias. Pourtant, la probabilité qu’un malade mental aura des gestes violents n’est pas plus élevée que pour la population en général, alors que la probabilité qu’un malade mental soit victime d’un crime est 2,5 fois plus élevée que pour la population en général. Ainsi les employeurs hésitent à embaucher les malades mentaux et les propriétaires à leur louer un logement. En effet, le taux de chômage chez les personnes atteintes de maladie mentale grave pouvait être de 70 % à 90%, dont 80% ayant le souhait de travailler.
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c) Lien avec la société
Une idée concernant la maladie mentale revient souvent : si une personne est atteinte de maladie mentale, c'est de sa faute.
C'est donc une faiblesse ou un problème depersonnalité, quelque chose que les personnes se causent elles-mêmes, pour attirer l'attention.
Il existe également le mythe que ces personnes ne sont pas autonomes etpas utiles à la communauté.
Pourtant, dans tous les domaines, et tout au long de l'histoire, les personnes atteintes de troubles mentaux ont contribués à la société.
Ilexiste aussi des stéréotypes négatifs qui donnent lieu à des comportements discriminatoires, comme quoi les malades mentaux seraient violents, notamment à causedes idées véhiculées par les médias.
Pourtant, la probabilité qu'un malade mental aura des gestes violents n'est pas plus élevée que pour la population en général,alors que la probabilité qu'un malade mental soit victime d'un crime est 2,5 fois plus élevée que pour la population en général.
Ainsi les employeurs hésitent àembaucher les malades mentaux et les propriétaires à leur louer un logement.
En effet, le taux de chômage chez les personnes atteintes de maladie mentale gravepouvait être de 70 % à 90%, dont 80% ayant le souhait de travailler.Donc les malades mentaux doivent, non seulement faire face à leurs symptômes, mais ils doivent aussi vivre avec des préjugés qui leur empêchent de trouver unemploi, un logement, des amis, bâtir des relations à long terme ou encore s'intégrer dans la société.
Or ce sont des facteurs essentiels à une bonne santé mentale.Dans le milieu du travail, Les employés déficients sont réticents à obtenir un diagnostic, un traitement ou demander une mesure d'adaptation à leur employeur parpeur d'être stigmatisés, isolés, marginalisés.
De plus, la discrimination dans le milieu du travail peut aggraver l'état mental ou faire apparaître des symptômes tels quele stress ou la dépression.
En effet, il arrive que les malades mentaux subissent des exclusions illégales pendant le processus d'embauche, ils peuvent être traitésdifféremment ou encore être licenciés pour une demande d'adaptation.
Au Québec, 1/3 à ½ des personnes atteintes de maladie mentale se sont vues refuser un emploipour lequel elles étaient qualifiées ou, si elles occupaient un emploi, ont été licenciées ou forcées de démissionner une fois qu'on a appris qu'elles étaient atteintes lemaladie mentale.Mais depuis 20ans, on a pût observer une augmentation du nombre de recherches sur des méthodes d'intervention psychothérapeutique, comportementale,biochimique de la maladie mentale.
Par exemple, à Montréal, des études sur l'efficacité et les coûts du traitement à domicile comparé aux traitements psychiatriquesen milieu hospitaliers ont été mis en place.
Ainsi, on pût mieux comprendre leur utilité et d'ouvrir la voie à de nouvelles approches..
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