La toile menacée durant les révolutions

« Le 27 Janvier 2011, le jour ou un pays a purement et simplement disparu de la grande matrice mondiale du net.

Le gouvernement égyptien a décidé de couper internet, cette coupure fait écho dans les autre pays arabe, comme la Tunisie.

Mesure très radicale prise par le gouvernent, plus d’aide de l’extérieur possible, ni de Twitter.

Les twittos égyptien n’ont guère apprécier certain a même déclarer sur son twitter: "The government can take away my freedom, but if they take away my internet, they're going down." Traduction : Le gouvernement peut prendre ma liberté, mais s’ils prennent mon internet, ils vont chuter. L’on remarque, la protestation des internautes, contre cette coupure de l’internet.

Et en effet, l’Égypte voit son erreur car 5 jours et 65 Millions d’€ de perte plus tard, internet commence à revenir dans le pays.

Le monde économique actuelle ne fonctionne quasiment pas sans internet.

D’où l’erreur du gouvernement de couper le réseau. Il existe aussi d’autre forme de menace appliqué en Égypte par les autorités, qui touchent principalement les acteurs de la liberté d’expression : Arrestation d’une 30 de journalistes par la police égyptienne, de nombreux autre, passer a tabac, agresser et se voient détruit ou confisqué leur matériel.

Un journaliste a même était abattue à son domicile.

Certaines journaliste sont se fait violée et agresser, par la foule et la police. Mais aussi les cybers activiste : Le plus connu Wael Ghonim qui administrait la page Facebook, qui appelait à la manifestation le 25 Janvier. Les actions contre les hackers à l’étranger, du groupe d’Anonymous, n’ont pas subi de représailles car, aucun d’eux n’a pu être « attrapé » par le gouvernement. Et après la révolution ? Trouve-t-on une vrai démocratie dans c’est pays ?. »