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grand oral svt en quoi la zoopharmacognosie offre-t-elle de nouvelles perspectives de traitement pour notre médecine ?

Publié le 31/01/2025

Extrait du document

« J’ai toujours rêvé de devenir chercheuse, de découvrir un traitement révolutionnaire qui sauverait des vies.

Je me suis donc penchée sur le cas des animaux qui peuvent nous apprendre beaucoup.

Je vais aujourd'hui répondre à la question : en quoi la zoopharmacognosie offre-t-elle de nouvelles perspectives de traitement pour notre médecine ? D’abord, la médecine est centrée sur NOS découvertes et est le reflet du génie humain.

Néanmoins, la totalité de nos méthodes de guérison ne provient pas directement des laboratoires de recherches : la zoopharmacognosie, qui est l’auto-médication des animaux à l’aide de plantes et de minéraux qu’ils trouvent dans leur environnement mais aussi les comportements protecteurs qu’ils ont les uns envers les autres, y est pour quelque chose.

En effet, de nos jours, les éthologues mais depuis déjà très longtemps les guérisseurs ancestraux observent et reproduisent les comportements des animaux.

C’est donc eux qui nous ont transmis de nombreux médicaments ou traitements actuels utilisés en médecine.

Nous allons donc voir dans un premier temps les découvertes et les observations faites par nos ancêtres et les chercheurs toutefois tout n’a pas été découvert nous verrons donc dans un second temps les pistes de recherche prometteuse pour l’évolution de la médecine. Nous allons commencer par voir les découvertes et les observations faites par nos ancêtres et les chercheurs.

On pourrait citer de très nombreux exemples d’animaux et de leurs méthodes de soin indépendantes mais, j’ai choisi de parler de celle qui m’a le plus intriguée, celle des fourmis infirmières et de leurs antibiotiques.

Dès lors que l’on aborde le sujet des insectes en science, on pense immédiatement à des cerveaux minuscules et donc pas forcément à des comportements intelligents, néanmoins les fourmis font souvent exception à cette idée reçue et pour cause.

L'attitude sociale de protection des fourmis face aux microorganismes pathogènes est particulièrement évocatrice pour nous, les êtres humains.

On va prendre un exemple concret : des fourmis aux mœurs surprenantes, les Matabele, des mangeuses de termites.

Elles installent leur fourmilière près des termitières et tous les jours, s'en vont attaquer les colonies de termites pour se nourrir.

À l'issue de leurs batailles quotidiennes, les guerrières Matabele paient parfois le prix fort, et se retrouvent blessées ou amputées.

C'est alors qu'il se passe quelque chose d'extraordinaire: des congénères les ramènent à la fourmilière et les soignent.

On les nomme “fourmis ambulancières".

Les chercheurs ont pu démontrer, qu'une fois revenues dans la colonie, les “ambulancières” nettoient longuement avec leurs appendices buccaux les blessures des victimes. Il y a encore une zone d’ombre sur le raison exacte de la guérison des blessés : on ne sait pas si ce seul nettoyage la permet, ou si un antibiotique est contenu dans la bouche de la fourmi et exercerait une action bénéfique, mais l'essentiel est là : bon nombre d’entre elles sont sauvées.

C'est d'autant plus impressionnant que ces fourmis, tout comme les termites, vivent dans un milieu terreux, où les microorganismes infectieux abondent.

Malgré tout, parmi les victimes, le taux de survie est très élevé.

Les chercheurs ont aussi pu mettre en évidence qu'il existe un comportement différencié de la part de la fourmi blessée, selon l'ampleur de l'atteinte qu'elle subit, elle émettra ou pas une phéromone... Par la suite,.... »

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