Grand oral du bac : L'OSTEOPATHIE
Publié le 16/11/2018
Extrait du document
• Selon les principes ostéopathiques, la structure et la fonction sont étroitement liées : toute perturbation d’une articulation, par exemple, se répercute sur son fonctionnement et engendre douleurs, diminution du mouvement...
• Si l’interdépendance existe, c’est que la réciproque est également valable : toute immobilisation prolongée d’une articulation provoque une raideur de cette articulation et des tissus périarticulaires. Ainsi la structure d’un organe, d’un membre, d’une articulation, etc., gouverne sa fonction tout comme la fonction influence sa structure.
• La fonction est un mouvement, l’aboutissement d'une décision volontaire ou non. Volontaires sont les gestes de tous les jours : marcher, courir, se nourrir, s'étirer, etc. Involontaires sont les actions de nos organes : par exemple l’adaptation du rythme cardiaque et respiratoire à un effort ou encore la digestion.
• Dès lors que la fonction est un mouvement et que structure et fonction sont interdépendantes, la structure ne peut s’appréhender que dans le mouvement. Un thorax fixe, aux côtes peu mobiles, aura une incidence sur la fonction pulmonaire ou cardiaque. Une dentition non fonctionnelle aura une incidence sur le port de tête et pourra provoquer des céphalées. Une structure altérée engendre par conséquent une diminution ou une abolition de la
fonction.
NAISSANCE ET DEVELOPPEMENT DE L'OSTEOPATHIE
L’ostéopathie est une autre façon de penser la médecine. Elle fonde ses principes sur le fait que la vie se manifeste avant tout par le mouvement et sur l'interdépendance des organes, des tissus et des articulations. Sans prescription médicamenteuse, elle consiste de fait en une thérapie manuelle qui demande une grande dextérité et qui minimalise la manipulation. Et cette approche ne va pas sans une grande connaissance de l'anatomie et de la physiologie humaines.
LE FONDATEUR : ANDREW TAYLOR STILL
À la fin du xixe siècle, la médecine américaine, qui n'a pas ou peu évolué depuis de nombreuses années, se révèle souvent inefficace. De ce fait, quelques mouvements de contestation s'élèvent. Parmi eux, l’homéopathie qui par la suite s'intégrera à la médecine officielle, ou encore le mouvement des
Christian Scientists qui prétend aujourd'hui encore que la guérison et la bonne santé dépendent du respect des lois divines.
C'est dans ce contexte incertain que, le 22 juin 1874, le docteur Andrew Taylor Still, alors âgé de 46 ans, a la « révélation » de l'ostéopathie. Né en 1828, Still fait preuve très tôt d'une insatiable curiosité. En 1864, après la guerre de Sécession à laquelle il participe en tant que chirurgien, il devient médecin allopathe et continue seul sa formation en disséquant nuitamment des cadavres.
La perte de trois de ses enfants au cours d'une épidémie de méningite plus encore que la pratique de son métier le fait alors douter des pouvoirs de la médecine traditionnelle, et il n'a de cesse, dès ce moment, d'accéder à une médecine plus efficace. Dès 1870, il expérimente des manipulations et parvient à redonner une mobilité à des segments vertébraux. Découvrant que les dérangements articulaires, musculaires ou squelettiques peuvent être à l'origine de maladies ou de symptômes, Still a l'intuition qu'une correction manuelle de ces dérangements peut aboutir à une guérison. Il approfondit alors ses connaissances sur l'anatomie humaine en tentant de comprendre le fonctionnement précis des différents systèmes corporels ainsi que leurs interdépendances. Peu à peu, le principe de « l'unité du corps » prend forme. L’ostéopathie est née. Perfectionnant sa technique, Still obtient rapidement des résultats. Malgré cela, sa conception de la guérison « à mains nues » et sans l'aide de médicaments n'est pas du goût de tous et d'aucuns ne voient en lui qu'un « illuminé ». Subissant de plein fouet cette pression sociale, Still décide de pratiquer son « art » de façon itinérante. Sillonnant le Missouri de ville en ville, il doit parfois se cacher pour se reposer tant l’affluence des patients est grande et ses résultats inespérés.
En 1892, Still fonde la première école d'ostéopathie, l'American School of Osteopathy, à Kirksville dans le Missouri. La fin de sa vie sera exclusivement consacrée à l'exercice, à l'enseignement et au développement de l'ostéopathie. Atteint d'un ictus cérébral, Still s'éteint en 1917 à l'âge de 89 ans.
LE DÉVELOPPEMENT DE L'OSTÉOPATHIE
La méthode thérapeutique originale de Still ainsi que la création de l'American School of Osteopathy est le point de départ du prodigieux développement que va connaître l'ostéopathie. Très vite, d'anciens élèves de l'école de Kirksville créent d'autres établissements d'instruction, et, bientôt le mouvement ostéopathique déborde largement l'État du Missouri pour conquérir l'ensemble du territoire américain. La formulation d'un code de bonne conduite, l'amélioration du contenu des études ainsi que l'enthousiasme de ses pratiquants concourent à la réputation et à l'expansion de l'ostéopathie. Mais plus encore qu'à ces efforts, c'est sans doute à ses résultats que l'ostéopathie doit sa popularité : lors de l'épidémie de grippe espagnole de 1918-1919, le taux de mortalité aurait été cinq fois moindre chez les malades suivant un traitement ostéopathique que chez ceux ayant recours à la médecine de l'époque.
C'est un ancien élève de Still, John Martin Littlejohn, qui introduit cette nouvelle méthode thérapeutique sur le Vieux Continent. En 1917, il fonde la British School of Osteopathy qui est à l'origine de tout un courant ostéopathique européen.
En France, la situation est plus délicate. Le corps médical, hermétique à cette nouvelle forme de thérapie, ne s'y intéresse guère. Il faut attendre 1950 pour qu'un ostéopathe français de formation anglaise, Paul Gény, fonde la première École française d'ostéopathie qui, dès sa création, connaît un succès sensible tant auprès des kinésithérapeutes que des médecins.
En un peu plus d'un siècle, l'ostéopathie s'est développée et répandue à un rythme tel, qu'aujourd'hui plus de 100 millions de consultations ostéopathiques ont lieu chaque année aux États-Unis.
«
L'INTERDÉPENDANCE
STRUCTURE-FONCTION
• Selon les principes ostéopathiques, la
structure et la fonction sont étroitement
liées : toute perturbation d'une
articulation, par exemple, se répercute
sur son fonctionnement et engendre
douleurs, diminution du mouvement.
..
• Si l'interdépendance existe, c'est que
la réciproque est également valable :
toute immobilisation prolongée d'une
articulation provoque une raideur de
cette articulation et des tissus
périarticulaires.
Ainsi la structure d'un
organe, d'un membre, d'une
articulation, etc., gouverne sa fonction
tout comme la fonction influence sa
structure.
• La fonction est un mouvement,
l'aboutissement d'une décision
volontaire ou non.
Volontaires
sont les gestes
de tous les
jours : marcher,
courir, se
nourrir, s'étirer, etc.
Involontaires
sont les actions de nos organes :
par exemple l'adaptation du rythme
cardiaque et respiratoire à un effort
ou encore la digestion.
• Dès lors que la fonction est un
mouvement et que structure et fonction
sont interdépendantes, la structure ne
peut s'appréhender que dans le
mouvement.
Un thorax fixe, aux côtes
peu mobiles, aura une incidence sur la
fonction pulmonaire ou cardiaque.
Une
dentition non fonctionnelle aura une
incidence sur le port de tête et pourra
provoquer des céphalées.
Une structure
altérée engendre par conséquent une
diminution ou une abolition de la
fonction.
• Ayant une excellente connaissance
de la structure et de la biomécanique
(mécanique articulaire et musculaire),
l'ostéopathe intervient par manipulations
(certains praticiens préfèrent parler de
((normalisations») sur les lésions
structurelles afin de prévenir ou de
résoudre les problèmes fonctionnels.
L'AUTOCUtRISON
«Le corps de l'homme est la pharmacie
de Dieu, et l'on y retrouve [ ...
] tous les
remèdes qui lui ont semblé nécessaires
au bonheur et à la santé.
»
Ainsi Andrew Taylor Still définissait-il
la capacité d'autoguérison du corps
humain : le remède est contenu dans
l'enveloppe même, touchée par le mal.
• Selon lui, la tendance naturelle du
corps humain est le retour à l'équilibre.
Soutenu par un environnement et
une nourriture adaptée ainsi que par
des systèmes internes de défense et
d'alarme, le corps humain s'autorégule,
s'autodéfend et s'autoguérit, tant
que la relation structure-fonction
est respectée.
• Dès lors que le corps est doté de ces
facultés homéostatiques (tendance de
l'organisme à stabiliser ses différentes
constantes physiologiques), il est
possible d'affirmer qu'un ostéopathe ne
guérit pas un patient mais qu'il aide
l'organisme de ce dernier à le faire.
Son
rôle premier consiste à permettre à
l'organisme de trouver les ressources
nécessaires à un retour à l'état d'équilibre.
Se basant sur ses
connaissances anatomiques et
physiologiques, le praticien se borne à
trouver les éléments entravant les
processus normaux d'amélioration, à
les réajuster (en considération des
rapports structure-fonction), puis à
laisser le corps faire l'essentiel :rétablir
l'état d'équilibre et revenir à l'état
normal de santé.
MÉTHODOLOGIE ET TECHNIQUES
OSTHÉOPATHIQUES
LA MÉTHODOLOCIE OSTÉOPATHIQUE
La méthode ostéopathique comprend
différentes phases :
• !:interrogatoire (ou anamnèse) :après
avoir écouté les raisons de la présence
du patient dans son cabinet,
l'ostéopathe procède à un
interrogatoire qui comporte une série
de questions sur l'alimentation, le
comportement, le passé médical et
traumatique, les antécédents
familiaux ...
Il note les faits relatifs au
passé médical du patient dans l'ordre
chronologique afin d'être en mesure
d'interpréter ce dossier en relation avec
le problème qu'il doit traiter dans
l'immédiat.
• !:examen ostéopathique :il passe
alors à l'examen de l'ensemble de la
structure du patient.
Il analyse sa
posture en vérifiant si la ligne des
épaules est horizontale et parallèle à
celle des crêtes iliaques et si le bassin
est équilibré.
!:ostéopathe note alors
toutes perturbations, raideurs ou
restrictions d'amplitude.
Il fait ensuite le bilan des articulations,
vérifiant que tout est bien conforme aux
règles de la biomécanique : les
articulations répondent à une
mécanique bien précise (les axes et les
amplitudes doivent être respectés) et le
moindre défaut de concordance ou de
cohérence risque d'avoir des
répercussions sur l'articulation elle
même, mais peut également avoir des
conséquences à distance.
• Le diagnostic: l'ostéopathe procède
alors à un certain nombre de tests de
mobilité et de motilité afin d'établir son
diagnostic et ainsi définir la lésion
ostéopathique.
Certains de ces tests
sont communs à la pratique médicale
traditionnelle, d'autres propres à
l'ostéopathie.
Bien que la plupart
s'appuient sur des connaissances
biomécaniques, quelques-uns font
appel à la capacité de perception du
praticien ainsi qu'à la « sagesse des
tissus » (approche originale quoique
subjective résumée par cette phrase
d'un ostéopathe américain, Rollin E.
Becker :« seuls les tissus savent») : le
thérapeute effectue une palpation afin
de détecter d'éventuelles perturbations
cutanées, musculaires ou ligamentaires
survenant à distance dans le territoire
nerveux correspondant à l'étage
vertébral atteint.
• Le traitement : Le diagnostic établi, le
praticien commence le traitement
proprement dit en utilisant les
techniques de l'ostéopathie structurelle,
viscérale etfou crânio-sacrée.
L'OSTÉOPATHIE STRUCTURELLE
Considérée comme l'ostéopathie
traditionnelle car la plus ancienne (c'est
John Martin Littlejohn qui, le premier,
a décrit la physiologie mécanique de
la colonne vertébrale), l'ostéopathie structurelle
s'intéresse de façon
spécifique à la structure osseuse, et
le plus souvent aux vertèbres.
• Les vertèbres sont les composantes
de la colonne
vertébrale qui est
l'axe de soutien
du corps.
Sur cet
axe, sont insérés
des muscles,
des ligaments
et sont fixés des
viscères.
Cet
ensemble, selon
les principes ostéopathiques, est en
interdépendance.
La colonne vertébrale
est également la gaine protectrice de la
moelle épinière.
Entre chaque vertèbre,
une racine nerveuse sert de conducteur
à la transmission d'informations
pouvant aboutir à des zones corporelles
très éloignées.
Une lésion vertébrale
peut donc avoir des conséquences
sur différentes parties du corps.
• Le praticien intervient sur la vertèbre
pour la forcer en sens inverse ou
opposé à sa lésion.
Il fait « craquer »
les articulations (le son émis lors de
ce craquement peut parfois être
impressionnant.
bien qu'indolore).
C'est la technique du cracking:
l'ostéopathe, grâce à une force
appliquée à bon escient (le thrusf),
provoque par la rapidité et la spécificité
de son geste, un réflexe qui, à plus
ou moins long terme, permettra une
récupération de la mobilité articulaire
et la cessation de la douleur.
• !:ostéopathe ne force jamais les
articulations au-delà de leurs limites
physiologiques.
Une manipulation
forcée, douloureuse ou répétitive peut
devenir dangereuse pour l'organisme.
L'OSTÉOPATHIE VISCÉRALE
Grâce aux tissus qui l'entourent (les
séreuses), le viscère en bonne santé est
mobile.
Ce mouvement viscéral dépend
de plusieurs systèmes :
-l e système nerveux central (qui gère
la motricité des structures contenant
les viscères, à savoir le crâne, le thorax
et l'abdomen),
- le système nerveux autonome
(qui gère les automatismes tels que
les battements du cœur ou les
mouvements pulmonaires lors de
la respiration par exemple),
- l'état de la structure qui le contient,
- le Mouvement Respiratoire Primaire,
- le mouvement du diaphragme
(muscle mobile lors de la respiration,
séparant le thorax de l'abdomen).
• Si le viscère adhère, pour une raison
quelconque, à une autre structure et
perd cette mobilité, une pathologie
fonctionnelle peut apparaître.
• Que les viscères lésés se situent
dans la cavité thoracique (cœur ou
poumons), dans la cavité abdominale
(foie, reins, pancréas, estomac, rate,
côlon, vésicule biliaire, intestin grêle)
ou dans le petit bassin (utérus, trompes,
ovaires, vessie), le but de l'ostéopathe
sera, dans la mesure du possible, de
redonner à ces viscères leur mobilité
perdue.
Pour cela, le praticien recherchera les
organes fixés, établira une relation
entre ces organes et les ligaments qui
les maintiennent, les fascias dont ils
dépendent et les segments vertébraux
qui gèrent leur innervation.
Il interviendra
ensuite par pressions et étirements
doux à travers la peau pour le thorax et
l'abdomen et par voie génitale ou
rectale pour les viscères du petit bassin.
L'OSTÉOPATHIE CIIANIO·SACRÉE
Un des élèves de Still, William Garner
Sutherland (1873-1954), révolutionne
l'ostéopathie vers 1900 en faisant une
découverte fondamentale (bien
qu'encore controversée aujourd'hui) :
les différents os du crâne ne sont pas
fixes, comme on le croit jusqu'alors,
mais mobiles.
Suture squamosale Os pariétal
Os frontal
Suture
Suture Corpsdela octipitomastoidieon e zygomatitotemporale mandibule
Observant l'importance des surfaces
articulaires existant entre les os du
crâne ainsi que la morphologie
particulière de leurs sutures
(imbrications en dents de scie),
Sutherland s'aperçoit que, même après
que tous les os du crâne sont soudés
(à 50 ans ou plus), ils conservent une
flexibilité naturelle en raison de leur
teneur en eau.
La grandeur des
déplacements est relativement faible
mais leur conjugaison donne à
l'ensemble un mouvement global
perceptible à une main entraînée.
• Ce mouvement possède un rythme
propre d'environ 10 à 12 battements
par minute.
Le
MRP ne fondionne bien que
lorsqu'il réunit dnq conditions :
- Les mouvements inhérents au cerveau
- la fluctuation du liquide céphalorachidien
- Une bonne harmonie dans les tensions
réciproques des membranes
(« dure-IMre») crân ienn e et ra ch id ienn e
- La mobilité des os du crâne
- la mobilité des os du sacrum
(os du bassin en liaison avec le crâne
par l'intermédiaire de la dure-mère)
l'ostéopathe libère également
certaines tensions situées au niveau
des os du crâne.
Après vérification du sacrum et des
membranes, il s'assure du bon
fonctionnement et de la bonne
propagation du Mécanisme
Respiratoire Primaire.
LA RÉACTION AU TRAITEMENT
Le traitement ostéopathique entraîne
des réactions : la réaction immédiate
est, la plupart du temps, un sentiment
d'apaisement de la douleur.
Toutefois,
dès le lendemain, le patient peut
ressentir une aggravation passagère
r-------------i des
symp tômes douloureux, un état
lE MÉCANISME RESPIRATOIRE PRIMAIRE de
fatigue, etc.
Ces inconvénients
disparaissent généralement après
quelques jours et sont certainement liés
à la réaction inflammatoire déclenchée
par le mouvement manipulatif forcé
lors de la « normalisation ».
• Lorsque le traitement n'apporte pas
le soulagement espéré, on parle de
réaction « négative », qui peut être
due au praticien comme au patient.
Ces réactions négatives sont toutefois
assez rares et ne remettent pas en
cause l'efficacité de l'ostéopathie.
Médecine à la fois fonctionnelle et
préventive, l'ostéopathie est
complémentaire de la médecine
traditionnelle.
Il n'y a pas de
superpos ition , de concurrence ni de
double usage.
Seule une heureuse
complémentarité doit les relier
1-------------_, entre elles.
On l'appelle le Mécanisme Respiratoire
Primaire (MRP).
Il peut se ressentir
dans n'importe quelle zone corporelle.
Lorsque le rythme du Mécanisme
Respiratoire Primaire est perturbé, c'est
que l'une de ces cinq conditions n'est
pas respectée,
ce qui peut
provoquer
des symptômes
tels que maux
de tête, sinusites,
douleurs
oculaires, etc.
• Le but du praticien est alors de
rétablir un rythme équilibré du MRP.
Pour ce faire, il pose ses mains sur la
tête du patient et accompagne la
fluctuation du liquide céphalorachidien.
Par palpations et pressions légères, CAUSES
DE RÉACTION NÉCATIVE
• dues au pratidu :
- Examen inadapté du patient
- Manque de connaissance théorique
et pratique
- Manque de communication
- Manipulation excessive
- Erreur de diagnostic
• dues au patient :
- Mauvaises expériences avec d'autres
praticiens
- Réponses subjectives et
disproportionnées à la douleur
- Instabilité articulaire
- Présence d'une contre- indicat ion inconnue
- Causes non décelées d'une pathologie.
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Grand oral du bac : Arts et Culture L'ART DE LA PHOTOGRAPHIE
- Grand oral du bac : Arts et Culture LE BAUHAUS
- Grand oral du bac : Arts et Culture LE BAROQUE
- Grand oral du bac : WALT DISNEY
- Grand oral du bac : GEORGE ORWELL