YoloSwag

« l'on connaît la problématique mais dans cette première scène la problématique posée est que vont faire Perdican et Camille à leurs rencontres. Les personnages de la dernière oeuvre qui provient d'Anouilh sont : Antigone qui est le personnage principal, Ismène, Créon et Hémon.

Le lieu où est jouée cette première scène est probablement une pièce contenant 3 portes similaires, car au début ils sont tous dans la même pièce.

Les liens entre les différentes personnes sont : Ismène est la soeur d'Antigone, Hémon le fils de Créon et Hémon est aussi le fiancé d'Antigone.

Comme pour le thème l'on ne réussit pas à identifier une vraie problématique dans cette première scène.

Par la suite l'on apprend pleins de choses sur les frères d'Ismène et d'Antigone mais l'on en parle pas dans la scène d'exposition.   2)      Expliquez le choix des auteurs dans la manière de présenter les éléments de l'exposition.

  Dans les trois premiers textes théâtraux l'on aperçoit que chacun d'entre eux est débuté par un dialogue entre deux ou trois personnes.

Dans l'oeuvre de Molière et dans celle de de Musset les personnages principaux n'interviennent pas dans la scène d'exposition.

Or dans les oeuvres de Marivaux et Anouilh les personnages principaux sont présents dès le début.

La différence est qu'Antigone est présentée sous forme de prologue et non sous forme de dialogue dans la scène d'exposition.   Dissertation : Le texte théâtral est-il suffisant en lui-même pour montrer un spectacle ?   Le théâtre est d'abord un spectacle, une performance éphémère, la prestation de comédiens devant des spectateurs qui regardent un travail dans un décor plus ou moins particulier.

Il fait part d'une place particulière parmi les genres littéraires et son caractère propre rend  la manière d'aborder le texte plus difficile.

Il s'agit d'une écriture destinée à une représentation.

Mais peut-on représenter une pièce de théâtre rien qu'à partir de son texte ou manque-t-il des choses à sa représentation? Cette question fera tout l'objet de ce qui suit.  . »