Révisions Générales de Management
Publié le 26/11/2013
Extrait du document
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>> La rationalité limitée :
Les décideurs prennent une décision à un moment donné en fonction de leur degré d’information, de leur motivation et de
leur capacité réelle d’action.
Le processus de décision aboutit ainsi à des solutions satisfaisantes mais non optimales.
Le décideur demeure donc
fortement influencé par le contexte organisationnel dans lequel il évolue.
>> Le processus de décision est découpé en 3 phases déterminantes : (modèle IMC)
Intelligence (ou d'identification des problèmes) : il s'agit d'analyser l'environnement de l'entr.
afin d'identifier les situations
faisant appel à des décisions.
Modélisation : il s'agit d'envisager toutes les décisions possibles ainsi que leurs conséquences.
Choix : sélection de la décision parmi l'ensemble des décisions en fonction des moyens et objectifs fixés.
>> Les facteurs de contingence ont une influence sur les caractéristiques d'une organisation :
L’âge de l'organisation : plus elle est âgée, plus le comportement est formalisé.
La taille de l'organisation : plus elle est grande, plus la structure est élaborée.
Le système technique (plus ou moins sophistiqué, automatisé).
Les attentes des salariés.
Les caractéristiques de l'environnement (dynamique, turbulent,...) et la conjecture économique.
Les modes de gouvernance (centralisé/décentralisé).
Une entreprise est une coalition, c'est-à-dire un ensemble de groupes d’individus aux d’intérêts conflictuels.
Les dirigeants, pour décider, doivent chercher des ajustements entre les logiques conflictuelles (exemple : actionnaires et
salariés) et des compromis (exemple : manager et actionnaires) qui sont le résultat de négociations entre les parties
prenantes.
Le système bureaucratique peut provoquer un manque d’efficacité et d’initiative chez les travailleurs.
Cette conséquence est
due aux règles de ce système.
Le système bureaucratique entraîne une routine chez le salarié et cela nuit, bien évidemment, à sa motivation.
De ce fait, il
perd en efficacité et devient donc moins productif.
L’entreprise est un ensemble d’acteurs internes et externes aux intérêts divergents qui vont tenter d’influencer sa gestion.
Elle ne peut fonctionner que s’il existe une coopération minimale entre ses différentes parties prenantes.
Ainsi, le manager
doit prendre en compte leurs attentes respectives et rechercher un terrain d’entente.
Modèle SHAREHOLDER (gouvernance actionnariale) : maximisation de la valeur actionnariale de l'entreprise
(dividendes), l’objectif est de soumettre les dirigeants à des dispositifs de contrôle interne.
Modèle STAKEHOLDER (gouvernance partenariale) : prise en compte de l'ensemble des parties prenantes.
Défense de
l'intérêt de chaque acteur (notion de responsabilité sociétale)..
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