Lecture linéaire Baudelaire a une passante

« Anal se linéaire À une assante Fleurs du Mal Baudelaire 1857 bac. Introduction : Le poème« A une passante » fut publié dans la seconde édition des Fleurs du mal en 1861.Ce sonnet à rimes inversés décrit un sujet du quotidien appelant à une réflexion sur la vision baudelairienne de la femme.

Ce titre est ambiguë, c'est une sorte de dédicace à une personne inconnue.

Ce poème est coupé en 2 parties : 2 quatrains (le pendant):/- 2 tercets (le après), cette structure donne du sens au contenue. PB : Comment à travers ce sonnet Baudelaire nous livre-t-il son idéal féminin? Comment le titre du poème annonce-t-il l'impossibilité de la rencontre ? Analyse linéaire : 1er strophe : • (vl) « hurlait » pers amplifie le son désagréable.

Ce vers pose le décor+ allitération en « R » amplifie la brutalité sonore.

« autour de moi » passif se laisse appert par le son. Apparition de la passante (v 2 à 5) • (v2) « grand deuil » en noir, inaccessible, intouchable ramène à la mort.

« une douleur majestueuse » début de son coup de foudre.

« longue, mince »adj souplesse, élegance, grâce. • (v3) « une »art ind « passa »ps action 1er plan, action brève.

C'est déjà le passé cette action a duré une fraction de sec.

« une main fasteuse » effet de contraste avec le noir de ces vêtements. • (v4) rythme ternaire très régulier pour imiter le pas très rapide de la femme, en mouvement. Elle relève le bas de sa robe vision presque érotique .

.,P ~ 2•strophe: • (v5) « jambe de statue »métaphore tissu vient galber sa cuisse lorsqu'elle marche perfection idéal de beauté, métaphore vient sublimer la femme surtout sa démarche. • (v6) « je » mise en scène d'une manière très passif.

« crispé comme un extravagant» tellement fasciné qu'il en devient angoissé • (v7) livide(clair):j: ouragan(sombre), germer=annoncer il voit très rapidement dans son oeil l'annonce d'un ouragan il s'imagine leur relation passionne!Je, leur amour dévastateur. • (v8) confirmation « douceur, plaisir » sensuelle, calme :j: « fascine, qui tue » antithèse il est comme ensorcelé, iJ exprime son coup de foudre 3• strophe· • (v9) »un éclair ...

puis la nuit » rencontre a durée 1 sec puis iJ retourne dans son monde sombre,son spleen.

«!»il exprime son regret.

« - » ça devient plus intime, l'auteur fait une confidence.

Encore un éloge de sa beauté « Fugitive beauté » fugitive car elle est déjà partie. • (vlO) « renaître »v s'oppose à « qui tue » v8 action qui le fait sortir de sa mélancolie, dépression mais qui fut trop rapide« a fait» c'est du passé la renaissance à eu lieu et elle est mnt terminée. • (vll) question rhétorique :« verrai »futur il est incertain.

«éternité» plus jamais rupture, c'est une rencontre qui n'aura plus jamais lieu. 4• strophe: • (v12) répond à sa q.

lieu : «ailleurs » temps : « trop tard, jamais» gradation jusqu'au jamais qui est contre balancé avec« peut -être» il n'a lui non plus aucune réponse .

Encore immense regret (( ! )) • (v13) chiasme exprime le fait qui vont tous les 2 dans des directions opposés donc rencontre opposé. • (v14) anaphore sorte de prière.

Elle conservera sont statut supérieur, elle est déifiée « eusse annee » conditionnel passé éventualité qui appartient déjà au passé, regret. Le tragique du point d'exclamation et de la formulation à l'imparfait fait peser un air de tragédie, de regret. Conclusion: Le poète évoque donc son idéal féminin de manière très pessimiste car il met en scène une rencontre impossible.

On comprend la solitude de ce« je» qui représente le poète.

Son spleen est l'échec de s'en sortir.

Mais en même temps son immense pouvoir créateur.. »