FICHE - La Musique ou l'art de faire entendre les nombres

« La Musique ou l’art de faire entendre les nombres.        Au XIème siècle, Guido d’Arezzo, moine bénédictin Italien né en 992, donne des noms aux notes. La fréquence du son par un tuyau d’orgue dépend de sa longueur  pareil pour une corde d’harpe  + la longueur du tube est grande, + le son est grave. Lorsqu’on joue de la flûte, nos doigts permettent de faire varier la longueur de la colonne d’air  son + ou – aigu ou + ou – grave. Si tous les instruments jouent la même note  on peut les reconnaitre grâce à leurs timbres, signaux associés  ils sont souvent complexes, ce sont des sons composés. La fréquence fondamentale définit la hauteur de la note, les harmoniques sont associés aux timbres ce qui permet de reconnaître l’instrument. Au VIème siècle av.

J-C, Pythagore prétend que l’harmonie de la nature, de l’harmonie régie par les nombres  + la corde est courte, + la fréquence du son produit est aigu. Le rapport de longueur = inverse par rapport à la fréquence du son associé à ces cordes.

Lorsque la longueur est identique  les sons vibrent à l’unisson. Rapport de Unisson fréquence f’/f = L/L’ 1/1        Octave Quinte Quarte 2/1 3/2 4/3 Sons consonants = agréables à écouter. Sons dissonants = désagréables à écouter  joués sur des notes très proches. Cluster = accumulation notes proches les unes des autres  très dissonant. Son « partiel » = harmonique / L’ensemble de tous les sons constitue les harmoniques. Les sons peuvent paraître consonants ou dissonants par habitude d’écoute, culturel. Pour contester la 1ere théorie voici la 2ème : la notion dissonance et consonance sont des notions tout à fait subjectives (habitudes d’écoute). On peut aussi la contester car on retrouve l’octave, la tierce et la quinte dans presque toutes les gammes pratiquement dans toutes les échelles sonores, dans la musique traditionnelle même si on remonte de très loin dans le temps elle repose + ou – sur la quinte et l’octave.. »