Dom Juan : Acte II : Scène 1 : La scène des paysans (Fiche de révision - Bac Français)

« Etonnement : Vêtements des nobles « Que d'histoires » : inutilité Stupeur de Pierrot : perruques « cheveux qui ne tenont point a leu tête ». Terme péjoratif : « filasse » Différence énorme entre la noblesse et les paysans. Critique « en gliau d'haut-de-chausse, ils portent une garde-robe » Pierrot n'a plus de repères spatiales ici : « aussi large que d'ici jusqu'à Pâques » L'ensemble de luxe et d'agréments étonne et ébloui Pierrot. Naïveté de Pierrot. Molière effectue une critique forte de la noblesse : Importance du paraître b.

La satire de la société Satire de Pierrot : Naïveté visé Classe paysanne très malléable : pas d'instruction. Facile à soumettre Satire de l'aristocratie et des petits marquis à cause de leur vanité : Vain, vide Ils sont obligés de passer beaucoup de temps pour s'habiller. Pierrot décrit D.J très méticuleusement : temps pour s'habiller très long. Le valet subit le prestige du maitre, mais même lui reste supérieure à Pierrot III) Les sentiments exprimés par Pierrot à charlotte a.

Naïveté de Pierrot en amour Importance du paraître Pour Pierrot, tout ce qui se voit est vrai : « Quand ça est, ça se voit » Pierrot ne croit que ce qu'il voit. Il assimile ce qui est concret aux sentiments profonds : « al fut de tirer dessous la », « nous amusions à batifoler avec des mattes de tarre » Représentatif de la société paysanne On retrouve le paraitre de l'aristocratie « rubans » Classe sociale très démonstrative Pierrot n'est pas inventive ni créatif dans l'expression de ses sentiments. b.

Pierrot possède une certaine lourdeur Il rudoie charlotte pour la forcer à avoue ses sentiments. On est ici dans l'accusation « tu ne me dis jamais mot », « t'es toujou là comme eune vraie souche de bois » : dévitalisation de charlotte. »