Devoir de Philosophie

boris vian l'enfer en usine

Publié le 08/06/2013

Extrait du document

vian
L'Ecume des jours, Boris Vian, « l'enfer de l'usine « Introduction Boris Vian est un écrivain français du 20e siècle. Il a abordé à peu près tous les genres littéraires : poésie, document, chroniques, nouvelles. Il a aussi produit des pièces de théâtre, des scénarios pour le cinéma. Son oeuvre est une mine dans laquelle on continue encore de découvrir de nouveaux manuscrits au XXIe siècle. Toutefois, sa bibliographie reste très difficile à dater avec précision. Le surréalisme est un mouvement littéraire et artistique né après la Première Guerre mondiale, qui repose sur le refus de toutes les constructions logiques de l'esprit et sur les valeurs de l'irrationnel, de l'absurde, du rêve, du désir et de la révolte. Le mouvement surréaliste repose donc sur la volonté de libérer l'homme des morales qui le contraignent et des académismes qui l'empêchent d'agir. Cependant, le mouvement a aussi une dimension...
vian

« B- Des machines agressives (l.34à35) la machine apparai t comme un monstre/une bête sauvage : « après leurs avoirs arraché un morceau de chaîne. (.23) l’adjectif « t rapue » qui sert à quali f ie r un humai n, qual i f ie ici une machine (personnif icat ion) qui apparai t affamé. (l.28à30) « les pièces retombaient » machines dangereuses avec un mouvement perpétuel « groui l l an ts » I- Dénoncia t ion de la barba r ie du monde indust r iel A- La banalisat ion de la cruau té (l.2à4) L’ent ré dans l’usine se fait dans la bru ta l i té avec les adverbes « frappa » « trébucha » et « violemment » qui est marqué dans la souffrance et la violence habi tuel le.

(l.24) la personni fication de « avide » mont re que l’homme et la machine sont à égali té ce qui va simuler la mise en danger de l’homme risquan t une mort un peu plus barbare. (l.2) on est dans la banali té du quotid ien « comme d’habi tude ». B- Des hommes esclaves des machines (l.24à25) « Au pied droi t… » le travai l moderne s’apparente à une forme d’esclavage moderne.

(l.20) « Chick frissonnai t » provoque une sensation désagréable qui peut se t radu i re par la peur.

La goutte qui tombe, peut être considéré comme une menace. (l.32) le rôle de Chick est d’orchestrer les tâches entre les hommes et les machines.

On a une ironie du mot « spectacle » I- Conclusion Boris Vian dénonce dans cette œuvre les condit ions du t ravai l inhumai nes.

Chaque personne employée n'est qu'un rouage impersonnel d'une gigantesque admin ist ra t ion.

Les employés sont dépri més et leur travai l est absurde.

BV fai t de ce passage un véri table art sur l’enfer de l’usine.. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles