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analyse poèmes des fleurs du mal

Publié le 22/02/2024

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« Question 3 : LE SOLEIL : - éloge du soleil et de ses bienfaits.

«Il fait s’évaporer les soucis vers le ciel », « c’est lui qui rajeunit les porteurs de béquilles ».

La comparaison « éveille dans les champs les vers comme les roses » nous montre que le soleil a le pouvoir de transformer un animal laid en une fleur magnifique. - ce poème montre le pouvoir de transfiguration du poète capable « d’ennoblir les choses, les villes », c’est-à-dire la boue en or. LA CHEVELURE : -La chevelure est sans cesse transformée dans ce poème.

Dès l’entrée du poème, elle est métamorphosée par l’emploi d’un vocabulaire faisant référence à la bestialité avec « toison moutonnante », «encolure » et « crinière ».

A la fin de la première strophe, la chevelure se transforme à travers la comparaison « Je la veux agiter dans l’air comme un mouchoir ». La chevelure devient ensuite végétale puisque la métaphore filée de l’animal laisse place à la nature : « forêt aromatique», « l’arbre », « sève », « mer »… LE MORT JOYEUX : - champ lexical de la mort : « carcasse immonde », « vieux corps », « pourriture », « vieux os »… - Tout au long du poème, la mort est atténuée.

Il y a donc un euphémisme mis en lumière par « je veux creuser une fosse profonde, où je puisse étaler mes vieux os et dormir dans l’oubli comme un requin dans l’eau ».

La comparaison « dormir dans l’oubli comme un requin dans l’eau » donne l’illusion d’une mort paisible. - oxymore « philosophes viveurs, fils de la pourriture » - alchimie avec les « corbeaux » et les « vers » qui dévorent les cadavres BOHEMIENS EN VOYAGE : - A travers la figure des voyageurs, Baudelaire suggère que Bohémiens et poètes, pour leur marginalisation de la société autant que pour leur rapport à la nature, sont à une.... »

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