Devoir de Philosophie

UN COUP DE DÉS JAMAIS N’ABOLIRA LE HASARD.

Publié le 27/01/2016

Extrait du document

UN COUP DE DÉS JAMAIS N’ABOLIRA LE HASARD. Célèbre poème

 

de Stéphane Mallarmé 0842-1808), publié pour la première fois dans la revue « Cosmopolis» (1807). Il apparaît comme un fragment du Grand (Euvre dont le poète avouait l’ambition dans son A ufobiographie de 1885. Selon le témoignage de Gustave Kahn, neuf poèmes semblables devaient lui faire suite, D’après Paul Claudel, « dans l’esprit de Mallarmé, ce travail n’était que le premier essai d’un grand poème, où il aurait voulu enfermer l’explication du monde Avec ce poème, Mallarmé ne rompt pas tellement avec les formes traditionnelles de la poésie qu’il ne vise à créer, à côté d’elles, un genre nouveau : \" Le genre, que c’en devienne un comme la symphonie, peu à peu, à côté du chant personnel, laisse intact l’antique vers auquel je garde un

culte et attribue l'empire de la passion et des rêveries ; tandis que ce serait le cas de traiter, de préférence (ainsi qu’il suit) tels sujets d’imagination pure et complexe ou intellect : que ne reste aucune raison d’exclure de la Poésie-unique source. \" Plus que poème. cette œuvre, dans son aspect extérieur, est partition. Visiblement Mallarmé interroge la Musique. mais non pas sur les possibilités qu’elle a de produire certains effets mélodiques. Depuis Hérodiade, il avait tenté de définir le poème sur plusieurs plans parallèles entre eux et s’introduisant. l’un à l’autre : il avait cependant toujours été soucieux de sauvegarder une certaine continuité dans le développement de l'œuvre.

Liens utiles