THÉORIE GÉHÉRALE DE LA CONNAISSANCE, Moritz Schlick
Publié le 02/10/2018
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Cercle de Vienne (1929). Après des études de physique, il s’était tourné vers la philosophie et s’était vu offrir, en 1922, la chaire de philosophie des sciences inductives de l’université de Vienne. L’épistémologie rigoureuse qu’il a fondée s’inspire de Mach, de von Helmholtz et de Poincaré, et s’oppose au néokantisme.
Sa Théorie générale de la connaissance est une œuvre fondamentale qui impose le rapprochement entre philosophie et sciences de la nature, puisque, pour Schlick, dans chacune des sciences se trouve caché un élément philosophique.
Liens utiles
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- Moritz Schlick 1882-1936 Fondateur du positivisme logique du Cercle de Vienne, Schlick, qui est né à Berlin, vient à la philosophie de la physique, et prépare sa thèse sous la direction de Max Planck (1904).