TE DEUM, MISERERE et autres motets de Lulli. Jean-Baptiste Lulli (Résumé et analyse)
Publié le 13/11/2015
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Sans être musicien d’église, le musicien français d’origine italienne Jean-Baptiste Lulli (1632-1687) a cependant largement contribué à
former le style religieux de l’école de Versailles par ses douze petits motets à trois voix et basse continue et surtout par ses onze grands motets dans lesquels il recueille la tradition déjà établie du double chœur, mais en la rehaussant avec l’éclat d’un appareil instrumental encore inconnu dans les églises françaises. Style théâtral, certes, mais capable, à l’occasion, d’accents de tragique mysticisme tels que ceux du fameux Miserere de 1664. C’est dans le Te Deurn de 1677, écrit pour le baptême de son fils, que l’audace de Lulli atteint son plus haut point : dans cette œuvre
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