SOLITUDE DE LA PITIÉ. (résumé) Jean Giono
Publié le 31/08/2016
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SOLITUDE DE LA PITIÉ. Publié en 19S2, ce recueil de nouvelles de l’écrivain français Jean Giono (né en 1895) chante, comme ses premiers romans, la nature et la vie. Dans les meilleures, on trouve une ravissante fraîcheur alliée à un métier certain et à une habileté déjà consommée. La plupart d’entre elles ne relatent pas à proprement parler une histoire, elles se contentent d’illustrer une situation ou une idée, de montrer, de photographier quelqu'un à un moment de son existence ou face à un problème dont il cherche la solution. L’une des plus réussies est la première, qui a
donné son titre au recueil. Deux vagabonds sonnent chez un curé. L’un est gros, l’autre maigre. Vieux, prostré, perdu dans un rêve, le maigre n’est plus bon à rien : il ne reste de lui qu’un corps frileux à couvrir et une bouche à nourrir. Le curé entrouvre la porte, mais n’a pas un sou pour eux. Puis le gros lui demandant du travail, il pense à en profiter pour faire réparer le tuyau de sa pompe.
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- « Les champs, les landes, les collines, les plages, les océans, les vallées (...) : tout ça n'est pas un simple spectacle pour nos yeux. C'est une société d'êtres vivants. » Jean Giono, Solitude de la pitié. Commentez cette citation.
- Les champs, les landes, les collines, les plages, les océans, les vallées (...) : tout ça n'est pas un simple spectacle pour nos yeux. C'est une société d'êtres vivants. Jean Giono, Solitude de la pitié. Commentez cette citation.
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