SILVANIRE (La) ou La morte vive. (Résumé et analyse) de Jean de Mairet
Publié le 08/11/2015
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SILVANIRE (La) ou La morte vive.
Cette tragi-comédie pastorale de Jean de Mairet (1604-1686), représentée avec le plus vif succès en 1625 au château de Chantilly et imprimée à Paris en 1631, fut le manifeste d’une école nouvelle qui se proposait de ramener, sans servile étroitesse, le drame français à la régularité classique. Cette tentative de réforme précédait d’au moins dix ans les exigences, d’une rigueur outrée, de Chapelain et de l’abbé d’Aubignac quant à l’unité de lieu et de temps. l)ans la préface, Mairet, alors âgé de vingt-et-un ans et qui est déjà l’auteur très fêté de Chriséide et Arimant (1620) et surtout de Silvie (1621), indique avec beaucoup de prudence les réformes qu’il conviendrait, selon lui, d’introduire dans la composition des pièces de théâtre, à l’exemple des Grecs et des Latins, et se vante de n’avoir pas écrit « une pièce à l’aventure ». Le sujet comme les caractères de cette troisième pièce, dédiée à la duchesse de Montmorency, sont empruntés à l’Astrée (*) d’Honoré d’Urfé, roman fort en vogue
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